Les Petits Précis en p de gastronomie italienne s'adressent à tous les amoureux de l'Italie et de sa table. Le Petit Précis de Prosecco, septième opus de la collection, ne fait pas exception.
Dans une langue pétillante, Eva Prud'homme nous embarque dans un voyage, entre géographie et histoire, à la découverte du prosecco, ce vin blanc pétillant du nord-est de l'Italie en passe de détrôner le champagne en personne. Sans compter que le prosecco a donné à l'art de la mixologie des cocktails, aujourd'hui passées à la postérité, des standards tels que l'incontournable Spritz, le très vénitien Bellini, le Sgropino ou encore le Hugo, et dont l'auteur nous dévoile les recettes.
Et le Titien, buvait-il du prosecco (voir Le Testament du Titien, Eva Prud'homme, éd.
Flammarion 2003) ? Avec la science et la rigueur du professeur d'histoire, Eva Prud'homme se penche ici sur le cas... « Bellini » ! Son enquête la mène à travers le Veneto, de l'antre feutrée du Harry's Bar proche de la Piazza San Marco jusqu'au rivage du lac de Garde. Auteur de romans policiers historiques à succès, Eva Prud'homme a momentanément délaissé les enquêtes de Virgile, son héros, pour suivre la route du prosecco. La bulle italienne a conquis l'écrivain, Vénitienne d'adoption, une inclinaison qu'elle nous fait partager dans son Petit Précis de Prosecco.
En 1572, un étudiant à la Sorbonne découvre que son père, avocat protestant et intime de Coligny, a été empoisonné... Un roman historique avec un fond d'enquête policière.
«Un meurtre, articula le Titien, j'ai... assisté... à un meurtre. Je ne peux pas me présenter devant le tribunal du Seigneur avec pareil souvenir sur ma conscience. Ce fut un meurtre monstrueux... Je l'ai peint sur une de mes toiles.» C'est par hasard qu'en 1576, Virgile, jeune étudiant, recueille cette confession de l'illustre peintre sur son lit de mort. Dès lors, il n'a de cesse de trouver l'auteur du crime. Dans une Venise ravagée par la peste, il mène l'enquête, assisté d'un ami et de la fille du Tintoret.
S'il trouve rapidement le tableau, Le supplice de Marsyas, écorché par le dieu Apollon, il ne peut mettre un visage sur chacun des personnages.
Pourtant la piste est là, qui voit le génial, le célèbre Titien passer les portes ténébreuses du monde alchimique et se faire l'artisan d'une tragédie.
Londres, 1587. Deux Français, Virgile et son fidèle ami Pierre, sont témoins d'un double meurtre dans une auberge. Peu après, ils sauvent in extremis une jeune Écossaise, Rosalind, que tout semble accuser. Pourtant, les deux détectives sont déjà convaincus de son innocence. Pire, la belle court un véritable danger. Les voilà soudain plongés dans une enquête trépidante pour démasquer l'assassin, et découvrir la réelle identité de Rosalind, qu'elle-même ignore. Ils devront espionner les différents suspects, sillonner Londres, du palais de Whitehallaux bas-fonds de la South Bank, jusqu'au quartier de Shoreditch où se dresse le tout premier théâtre anglais. Dans leurs investigations, ils seront aidés par un jeune acteur d'une vingtaine d'années, un certain William Shakespeare, qui ne reste pas insensible au charme de l'énigmatique Ecossaise. Mais leur amour est-il possible ? Le Sang de Shakespeare est un polar historique captivant qui, grâce à son intrigue ciselée, à son rythme soutenu, à ses multiples rebondissements, séduira les amateurs de romans policiers. Les détails historiques, habilement distillés et fondés sur un rigoureux travail de documentation, nous immergent de manière inédite dans l'Angleterre élisabéthaine et le théâtre de Shakespeare. Les férus du barde de Stratford savoureront les clins d'oeil faits à l'oeuvre ou redécouvriront de manière ludique ses plus célèbres pièces.