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Giacomo Leopardi
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Dans ses Petites oeuvres morales, le poète italien développe sa réflexion philosophique en vingt-quatre petits chapitres : récits mythologiques, scènes de comédie, apologues, pastiches et dialogues philosophiques.
Souvent percu comme un pessimiste, Leopardi éclaire ici sa philosophie implacable par l'étendue de son style, tour-à-tour lyrique, fantastique ou comique, d'une éblouissante modernité. -
Publiées de façon posthume en 1845, ces Pensées sur le caractère des hommes et leur conduite dans la société présentent, sous forme d'aphorismes, d'anecdotes significatives ou de sentences lapidaires, l'essentiel des conclusions léopardiennes sur la morale.
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Le Massacre des illusions offre les réflexions de Leopardi consacrées à la politique, à la société et à l'histoire des civilisations. Rebelle à tout esprit de système, loin de toute tentation doctrinaire et superstition rationaliste, il cisèle l'ère du temps par un regard critique incisif et un sens aigu des détails. Digne héritier de Machiavel, son ironie désespérée, sa finesse et son pessimisme lumineux le placent dans la lignée des plus grands moralistes. Observateur lucide de ses semblables, Leopardi fait dans Le Massacre des illusions un portrait de son époque toujours aussi actuel. À l'abri de toute idéologie ou récupération, il ne se préoccupe que de ce qu'il voit : l'homme et son monde.
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Philosophie pratique
Giacomo Leopardi
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 31 Août 2022
- 9782743657260
À partir de 1817, le poète Giacomo Leopardi (1798-1837) prit des notes philosophiques et philologiques dans un cahier qu'il appela "Zibaldone", sorte de journal intime de la pensée de près de 5000 pages. Parmi ses nombreux projets d'essais inaccomplis se trouve un "Manuel de philosophie pratique", où Leopardi donne quelques conseils pour échapper au désespoir. Voici un choix thématique du "Zibaldone" sous la forme d'un dictionnaire philosophique.
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Ce journal, Leopardi ne le quittait jamais, y consignant toutes ses réflexions. La diversité des sujets abordés est saisissante, que ce soit en matière de littérature, de politique, d'histoire, de religion ou encore de philologie. Mais Leopardi nous entretient aussi des effets du tabac, des moeurs des Patagons, des vertus de l'odorat ou encore de Copernic. De Platon à Rousseau, en passant par Dante, la liste des auteurs que cet esprit fertile et tourmenté analyse est vertigineuse. Cet immense réservoir d'idées fondamentales, auquel Nietzsche a rendu hommage, nous happe dans les méandres d'une pensée aussi labyrinthique que prodigieuse par sa force d'intuition et la modernité de son projet et de son enjeu. Il donne l'occasion inouïe de pénétrer dans le laboratoire de l'oeuvre qui advient.
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Canti / oeuvres morales (choix)
Giacomo Leopardi
- Gallimard
- Poesie Gallimard
- 25 Mars 1982
- 9782070322220
«Il reste à écrire une biographie cosmique de Leopardi, poète incomparable de la révolution des sphères célestes, né à l'orient et mort à l'occident de l'Italie, face au golfe de Naples où s'inspirant sans doute sans le dire de L'Infinito, Lamartine percevait "l'infini visible qui fait sentir aux yeux les bords du temps et entrevoir l'existence sans bords". Il faudrait y ajouter un essai définissant l'entière révolution de sa poésie, de la jouissance imaginaire d'un infini métaphorique ("Et m'abîmer m'est doux en cette mer") à la contemplation extatique de l'univers infini ("Si la vie dépourvue de passions et de nobles erreurs est une nuit d'hiver sans étoiles, c'est me venger assez du sort mortel que de m'étendre, dédaigneux, dans l'herbe, et de sourire en contemplant la terre, la mer, le ciel").» Jean-Michel Gardair.
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Contemporain des grands romantiques français, Giacomo Leopardi (1798-1837) est plutôt rapproché de Keats, Byron ou Shelley, comme lui fauchés dans leur jeunesse. Admiré de ses contemporains, il publia peu de son vivant. Ses Chants ne parurent qu'après sa mort dans leur version intégrale, grâce à Antonio Ranieri. Ils ont des tonalités diverses : épigrammes insolentes et ironiques contre une Italie rendue exsangue par les guerres napoléoniennes et cherchant son unité, élégie amoureuse et nostalgique, fable allégorique, rêverie métaphysique, tableaux de la vie quotidienne.
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Vers 1816, au fin fond d'une province pontificale d'Italie du Nord, un jeune homme mélancolique, pétri de lectures érudites, s'apprête sans espoir à l'«oeuvre de sa vie». Ce jeune homme, c'est Giacomo Leopardi. Il écrit des poèmes renouant avec la plus haute tradition italienne, celle qui remonte à Pétrarque et au Tasse. En 1831 paraît la première édition des Canti.De la véhémence des premières canzones (À Angelo Mai, Brutus) aux méditations nocturnes des idylles (L'Infini, Le Soir du jour de fête, À la lune), en passant par les grands poèmes philosophiques (Le Genêt), le poète chante la solitude et l'exclusion, le temps répétitif et destructeur, le destin et la perte.Tour à tour élégiaque et révolté, nihiliste et exalté, Leopardi inaugure une forme nouvelle de lyrisme : du moi au nous, sa voix déplore au nom de tous la souffrance d'être. Ce recueil d'une noire beauté inspira des esprits aussi divers que Schopenhauer, Musset, Nietzsche et Giuseppe Ungaretti.
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Éloge des oiseaux ; chant du coq sauvage
Giacomo Leopardi
- Marguerite Waknine
- Livrets D'art
- 6 Novembre 2020
- 9791094565704
Il y a exactement deux cents ans, Giacomo Leopardi (1798-1837) concevait le projet des Petites oeuvres morales, un singulier ensemble de textes courts où l'on peut croiser nombre de personnages, comme Le Tasse et son démon, un gnome et son follet, la mode et la mort...
On y retrouve toute l'obsession de Leopardi à scruter le néant de toute chose, cette volonté délibérée de représenter de manière vive la nullité des choses et faire sentir l'inévitable malheur de la vie, comme il l'écrit ailleurs, dans son Zibaldone. Parmi ces Petites oeuvres, deux merveilles : Éloge des oiseaux et Chant du coq sauvage, où l'on s'étonne une nouvelle fois de découvrir ce lyrisme lumineux au service du pessimisme le plus sombre. Giacomo Leopardi lui-même l'avait constaté :
Ma philosophie n'est pas du genre qui plaît à ce siècle. Reste à savoir s'il se peut qu'elle puisse plaire au nôtre.
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L'art de ne pas souffrir
Giacomo Leopardi
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 22 Février 2017
- 9782743638702
Giacomo Leopardi (1798-1837) est le grand poète du malheur humain. Dans ses lettres, il analyse les raisons de ce malheur, mais il apprend aussi à l'affronter et à le supporter. Pessimiste, il est tout sauf fataliste. L'art de ne pas souffrir tient au paradoxe suivant : si le bonheur n'existe pas, s'il est une illusion, cette illusion est néanmoins source de bonheur. À ses correspondants, il enseigne à faire renaître les fleurs de l'espoir sur les cendres du monde. La présente édition propose la traduction inédite d'un choix de lettres de la correspondance du poète, qui révèlent l'aspect plus personnel, plus vivant, de sa sagesse pratique.
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C'est un siècle d'or, ô gino, que déroulent à présent les fuseaux des parques.
L'amour universel, les chemins de fer, l'extension du commerce, la vapeur, l'imprimerie et le choléra vont relier les peuples et les pays les plus éloignés les uns des autres ; et il ne faudra pas s'étonner si le pin ou le chêne viennent à produire du lait ou du miel ou même à danser à l'air d'une valse.
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Écrivain, poète, philosophe, Leopardi (1798-1837) est avec Dante le plus grand écrivain italien. Avec l'Allemand Novalis (1772-1801), l'Anglais Keats (1795- 1821) et le Français Nerval (1808-1855), il est un des grands météores du romantisme européen.
Nietzsche voyait en lui «?le plus grand styliste de son siècle?». Pour Elio Germano, interprète du rôle de l'écrivain dans l'admirable film qui lui a été consacré en 2014 par Mario Martone, Leopardi : Il giovane favoloso (« le jeune homme fabuleux », expression empruntée à un poème d'Anna Maria Ortese), « Leopardi est punk, il est grunge. Schopenhauer et Nietzsche se sont formés avec Zibaldone.
L'existentialisme nait de lui aussi. Pour moi c'est un Pasolini de son temps. Détaché et dérangeant. » Mort à 39 ans, Leopardi a laissé une masse de textes considérable et désordonnée. Les fragments ici recueillis dans l'ordre chronologique de leur date de publication renvoient à l'ensemble de ce corpus comprenant les célèbres Canti, le Zibaldone (près de 5000 pages dans l'édition italienne), les essais et l'abondante correspondance du reclus de Recanati.
« Sans la musique, écrivait Nietzsche, la vie serait une erreur, une besogne éreintante, un exil. » Il en est de même pour Leopardi qui écrit en 1820 à un ami le chef d'orchestre Pietro Brighenti : « La musique, est certainement l'une de mes grandes passions, et elle doit l'être pour toutes les âmes capables d'enthousiasme. » Des Canti au Zibaldone, l'univers sonore est partout prédominant dans son oeuvre et fait la marque inoubliable de sa sensibilité.
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quant à des nouvelles de moi, je ne pense pas que vous en attendiez.
sachez que je déteste la politique, parce que je crois, et même je vois, que les individus sont malheureux sous toutes les formes de gouvernement : à cause de la nature qui a fait les hommes pour leur malheur ; et je ris du bonheur des masses, parce que mon petit cerveau ne conçoit pas une masse heureuse composée d'individus malheureux. et je pourrais encore moins vous parler de nouveautés littéraires, parce que je vous avoue que j'ai l'impression de ne plus savoir les lettres de l'alphabet, faute de lire et d'écrire.
mes amis sont scandalisés, et ils ont raison de rechercher la gloire et de rendre service aux hommes, mais moi qui n'ai pas l'intention de rendre service aux hommes et qui n'aspire point à la gloire, je n'ai pas tort de passer ma journée étendu sur un sofa, sans lever les paupières. et je trouve fort raisonnable l'habitude des turcs et autres orientaux qui se contentent de s'asseoir toute la journée les jambes croisées, et de regarder stupidement en face notre ridicule existence.
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Quarante traductions en français du poème de Leopardi L'Infini. Prose, hexamètres, alexandrins, vers pairs, impairs, libres... Le poème de Giacomo Leopardi - sans doute l'un des plus connus - est ici décliné au fil chronologique de ses traductions françaises : de Sainte-Beuve - 1848 : la toute première - à Jaccottet, Char, Orcel, Macé, Bonnefoy, Di Meo... Réunir ainsi toutes ces traductions ? Un défi, un jeu aussi, pour le plaisir, avant tout, de « donner une idée de ce qu'est la traduction : une tâche infinie...»
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Dix petites pièces philosophiques
Giacomo Leopardi
- Le Temps Qu'Il Fait
- Litterature
- 19 Mars 2009
- 9782868535122
Mécompris, censuré, tout ensemble adoré et haï, le recueil des Petites pièces philosophiques (Operette morali) apparaît comme le revers implacable du lyrisme des Canti. Leopardi, négligeant dédaigneusement l'arsenal romantique, y déploie les ressources d'une prose à la fois délicieuse et terrifiante, dont la littérature européenne offre bien peu d'exemples.
Dans ce petit théâtre philosophique, fiévreusement élaboré à la fin du XIXème, le nihilisme moderne semble naître tout armé. Schopenhauer, Nietzsche, grands lecteurs de Leopardi, creuseront ce sillon; d'autres suivront celui du Désir.
Grosses d'un désespoir qui est déjà le nôtre, ces pièces témoignent aussi de la littérature comme activité frivole et nécessaire, comme exercice presque joyeux du sens contre le rien.
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Huit petites oeuvres morales inedites
Giacomo Leopardi
- Allia
- Petite Collection
- 1 Octobre 1999
- 9782844850164
Ces textes n'avaient pas été retenus par Leopardi dans l'édition définitive des vingt-quatre Petites oeuvres morales. Il s'agit le plus souvent de dialogues à l'humour féroce comme celui entre un cheval et un taureau ou celui entre Xénophon et Machiavel. L'ouvrage se clôt par un magnifique «Fragment sur le suicide».
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Discours sur l'état présent des moeurs en Italie
Giacomo Leopardi
- Belles Lettres
- Bibliotheque Italienne
- 4 Avril 2003
- 9782251730097
Dans cette universelle dissolution des principes sociaux, dans ce chaos qui véritablement épouvante le coeur d'un philosophe en suscitant chez lui les plus grands doutes sur le destin futur des sociétés civilisées, et en le jetant dans une incertitude profonde quant aux moyens qu'elles auront de perdurer et de subsister dans l'avenir, les autres nations civilisées, c'est-à-dire essentiellement la France, l'Angleterre et l'Allemagne, possèdent un principe conservateur de la morale et donc de la société qui, bien qu'il paraisse étroit et presque grossier par rapport aux principes moraux et aux grandes illusions qui se sont perdus, n'en est pas moins d'un grand effet. Ce principe, c'est la société elle-même.
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'So my mind sinks in this immensity:
And foundering is sweet in such a sea' Leopardi's Canti is one of the most influential poetic works of the nineteenth century, and a landmark achievement in Italian verse. Revisited and reorganized over his lifetime, this extraordinary work was described by Leopardi as a 'reliquary' for his ideas, feelings and deepest preoccupations. It encompasses drastic shifts in tone and material, and includes early personal elegies and idylls; radical public poems on history and politics; philosophical satires; his great, dark, despairing odes such as 'To Silvia'; and later masterworks such as 'The Setting of the Moon', written not long before Leopardi's death. Infused with classical allusion and nostalgia, yet disarmingly modern in their spare, meditative style and their sense of alienation and scepticism, the Canti influenced the following two centuries of Western lyric poetry, and inspired thinkers and writers from Schopenhauer and Nietzsche to Beckett and Lowell.
Jonathan Galassi's direct new translation sensitively responds to the musicality of the Canti, while his introduction discusses the paradoxes of Leopardi's life and work.
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Poesies et oeuvres morales de leopardi. precedee d'un essai sur leopardi. t2 (ed.1880)
Giacomo Leopardi
- Hachette Bnf
- 1 Mai 2012
- 9782012763081
Poésies et oeuvres morales de Leopardi. précédée d'un essai sur Leopardi. T2 / première traduction complète... par F.-A. Aulard,... ; par F.-A. Aulard,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k414740p
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Poesies et oeuvres morales de leopardi. precedee d'un essai sur leopardi. t3 (ed.1880)
Giacomo Leopardi
- Hachette Bnf
- 1 Mai 2012
- 9782012763098
Poésies et oeuvres morales de Leopardi. précédée d'un essai sur Leopardi. T3 / première traduction complète... par F.-A. Aulard,... ; par F.-A. Aulard,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4147412