Filtrer
Rayons
Support
Langues
Prix
Guy Bedos
-
La fraîcheur de sa colère, son amour des femmes, ses instincts de bon père juif, son usage immodéré de l'humour comme ultime politesse, David n'a rien perdu. Pourtant Leïla, l'Arabo-Andalouse de sa vie, l'a abandonné. Les Fellini, les Mastroianni, les Serrault et autres frères élus ont disparu sans crier gare. Alors il écrit. Des notes éparses, qu'il laisse traîner un peu trop négligemment, et qui déclenchent une correspondance inattendue avec ses trois enfants...
-
Je me souviendrai de tout ; journal mélancomique
Guy Bedos
- J'ai Lu
- Document
- 14 Juin 2017
- 9782290130742
L'humoriste évoque sa vie et sa carrière, son enfance à Alger, ses histoires d'amour, sa famille, les artistes qu'il a côtoyés, tout en passant au crible l'actualité politique
-
Portrait de vingt-cinq personnes attendues ou inattendues, d'Aragon à Signoret, de Sagan à Coluche, de Jean-Loup Dabadie à Sophie Daumier. G. Bedos raconte ici ses amis et ses ennemis, ses amours et ses colères mais surtout qui il est.
-
J'ai fait un rêve
Gilles Vanderpooten, Guy Bedos
- Editions de l'Aube
- L'aube Poche
- 19 Février 2015
- 9782815911504
Résister par l'insolence et par le rire, Guy Bedos s'y attache, en comédien et en observateur féroce de notre société. De sa jeunesse algérienne, il tient l'antiracisme. Du refus de l'indi érence, l'engagement pour les droits de l'Homme. Du goût pour la liberté, l'indocilité face aux pouvoirs. De l'exigence de démocratie, l'appel à l'« insurrection pacifi que ». Guy Bedos projette son rêve d'une société meilleure dans la jeunesse qui s'indigne et qui agit. Rencontre avec un homme irrésistiblement drôle et tourné vers la vie. Une introduction à ce livre sera ajoutée afi n de permettre à Guy Bedos de raconter à Gilles Vanderpooten comment il a vécu sa première année de « retraité » !
-
Un récit émouvant sur la relation d'un père à sa fille.
" Je suis fille de Georges, métèque, grec, né à Alexandrie et de Yanick, bretonne de Roscoff, Finistère Nord, née à Levallois-Perret. Issue de ces deux berceaux différents, rencontre de l'Occident et de l'Orient. Remonter le fil jusqu'à mes grands-parents. Dresser leurs portraits, l'histoire familiale, ses anecdotes. Revenir à la source, mes racines et bout à bout, pièce après pièce, reconstituer le puzzle...
Témoigner sur la joie mais aussi la difficulté de grandir auprès de parents hors-norme, tous deux artistes et bien jeunes à ma naissance. Surtout lorsque l'image publique est forte et la notoriété vive. J'ai ressenti le manque, la solitude, l'absence mais j'ai aussi aiguisé, précoce, une force d'adaptation, un esprit audacieux et rebelle. J'ai pris au lasso les moments de bonheur, de tendresse et de complicité partagés. Auprès de mon père globe trotteur et de ma mère poétesse, les rencontres ont étés magnifiques. Elles ont laissé leurs empreintes, leurs influences. Parmi elles, Edith Piaf qui m'offre ma première guitare, Paco Ibañez, Jacques Higelin, Renaud, Barbara, Jeanne Moreau, Josiane Balasko, Vinicius de Moraes, Caetano Veloso, Pierre Richard, Diane Dufresne, Catherine et Maxime Le Forestier, Albert Cossery...
Avec mon père, c'était aussi le plaisir, pour l'enfant et l'adolescente que j'étais, de l'accompagner parfois en tournée à travers le monde. Cette soif de voyage, je la tiens de lui comme cette volonté, très jeune, de tracer ma route. Ce récit livre leur histoire, mon histoire. " -
« Je n'ai pas rêvé. J'ai bien vu ma mère frapper mon père avec un marteau. Je dois avoir entre deux et trois ans... » C'est sur cette image d'enfance, indélébile, que commencent les souvenirs de Guy Bedos. L'image d'une mère qu'il ne parviendra jamais ni à aimer ni à oublier.
Autour d'elle, l'Algérie, celle des petits Blancs racistes de son entourage, celle aussi de Finouche, l'institutrice qui lui fait découvrir d'autres valeurs, la tolérance, le respect des autres. Puis c'est la France, les débuts sur les planches...
Humoriste à succès, satiriste impitoyable, engagé dans la vie politique, Bedos lève le voile sur les bonheurs et les blessures de l'homme privé avec la même franchise provocatrice et généreuse dont il fait preuve sur scène, dans des pages où l'on croisera aussi les silhouettes de Sophie Daumier et d'Alain Delon, de Boris Cyrulnik et de François Mitterrand. Tous ceux qui de près ou de loin, en bien ou en mal, ont marqué une vie.
-
La Bourse ? Je m'en fous. J'ai choisi la vie.
J'ai horreur des gens qui parlent pendant que je les interromps !
Etre prêt à mourir pour le peuple, ça signifie pas qu'on est prêt à vivre avec !
La Légion d'honneur pour un humoriste, c'est une faute professionnelle.