À travers de nombreuses illustrations, principalement des cartes postales, Marius Gibelin, collectionneur et passionné d'histoire locale, présente plus de cent métiers pratiqués par nos aïeux entre 1850 et 1920. Cet ouvrage dédié au patrimoine rural nous fait découvrir les métiers du bois, de la pierre, de la terre et s'intéresse à ceux du textile, du cuivre et du fer. Il consacre également une place de choix à l'agriculture et aux métiers de la bouche. Au total, ce sont plus de dix corporations qui nous sont présentées en termes de savoir-faire, d'outils, de procédés et d'objets.
Ce livre met aussi l'accent sur le rôle prépondérant des femmes, des enfants et des animaux (ours, chiens.) dans les métiers pratiqués dans les rues des villes ou dans les campagnes. Il nous livre enfin de savoureuses anecdotes sur la belle ouvrage d'autrefois, et ravive la tradition du travail bien fait.
Belle Époque. Ce parcours auquel nous convie Marius Gibelin lui est personnel et ne vise pas à l'exhaustivité historique du propos. Et, de fait, il constitue bien plus qu'une leçon d'histoire, une chronique fondée sur les caractéristiques essentielles de la mémoire locale, présentée sous forme thématique. Des portraits de personnalités ou de métiers spécifiques, aux activités de la terre en passant par les modes de communication, la vie religieuse, etc., aucun élément n'est négligé, permettant ainsi de largement radiographier la société de l'époque. Par un judicieux choix iconographique, Marius Gibelin touche ainsi au plus vrai de cette mémoire.
Au fil d'un texte étayé d'anecdotes, dans un format carré faisant la part belle aux images, ce titre des Métiers de toujours nous emmène au tournant du xixe siècle et de la modernité, sur les pas des artisans du bois, du cuir et de la paille. Saluant la tradition du bel ouvrage, Marius Gibelin sauve de l'oubli un patrimoine riche d'enseignements. Tout en replaçant les métiers dans leur contexte historique ou social, il explique les savoir-faire, les outils, les procédés et donne un aperçu de la vie quotidienne de ces hommes et femmes du bois (bûcheron, tonnelier, sabotier...), du cuir (tanneur, bourrelier, gantier...) et de la paille (chaumier, vannier, rempailleur de chaises...).
Au fil d'un texte étayé d'anecdotes, dans un format carré faisant la part belle aux images, ce titre des Métiers de toujours nous emmène au tournant du xixe siècle et de la modernité, sur les pas des artisans du fer, du cuivre, de la pierre et de la terre. Saluant la tradition du bel ouvrage, Marius Gibelin sauve de l'oubli un patrimoine riche d'enseignements. Tout en replaçant les métiers dans leur contexte historique ou social, il explique les savoir-faire, les outils, les procédés et donne un aperçu de la vie quotidienne de ces hommes et femmes du fer et du cuivre (maréchal-ferrant, chaudronnier, rétameur, fondeur de cloche...), de la pierre (mineur, ardoisier, maçon...) et de la terre (potier, porcelainier...).
Collectionneur passionné des objets et scènes du patrimoine, Marius Gibelin nous emmène dans le monde rural d'autrefois, à l'aube de la mécanisation agricole. Plus de 200 images inédites pointent les gestes ancestraux qui perdurent dans nos terroirs et rendent hommage aux paysans infatigables, véritables artisans de la campagne.
Le texte de Stevenson a été abondamment commenté, mais jamais illustré de documents d'époque, qui lui offrent un véritable écrin.
En parcourant ce chemin, on se replonge ainsi dans l'ambiance des lieux que le romancier a pu découvrir.
Pertinent et réaliste, ce choix de documents légendés offre une lecture visuelle de ce chemin.