Avec Nijinski, Rudolf Noureev (1938-1993) reste le plus grand danseur du vingtième siècle. Il fut au ballet ce que Callas fut à l'opéra. Beauté, talent, gloire, fortune : le destin semble avoir tout accordé à celui qui traversa
la vie en courant.
Tout à la fois danseur et chorégraphe, aventurier dandy et travailleur forcené, il fut à sa façon, durant trente ans, la prima donna assoluta des scènes du monde entier comme aussi des fêtes de la jet-set. Tsar ou star de la danse, il eut le pouvoir de l'un et les caprices de l'autre.
Le rôle et la place de la première dame ont beaucoup évolué depuis les débuts de la Ve République. Bertrand Meyer-Stabley revient sur le parcours et le caractère de chacune des femmes de président de la République depuis 1958 : Yvonne de Gaulle, Claude Pompidou (récemment disparue), Anne-Aymone Giscard d'Estaing, Danielle Mitterand, Bernadette Chirac, Cécilia Sarkozy et Carla Bruni.
Certaines ont pu être discrètes et effacées, d'autres au contraire ont choisi d'apparaître sur le devant de la scène, jouant un rôle politique majeur et pouvant participer activement à l'action de leur mari et à la vie du pays. À l'heure où fait débat la position qui devrait être réservée au conjoint du président, ce livre permet de mieux cerner l'évolution de cette fonction particulière, régulièrement au coeur de l'actualité. Un chapitre nouveau concernera Carla Bruni, dès que le mariage avec le Président de la République sera officialisé. Cette étonnante romance viendra prolonger cette histoire des premières dames de la Ve République, qui n'en finit pas de surprendre.
Rarement une actrice a été autant dépassée par son destin. Et rarement une personnalité a été autant défigurée par les médias, les colporteurs de ragots et les voleurs d'images. Tous ceux qui l'ont approchée, ne serait-ce que quelques instants, ont voulu livrer leurs témoignages. Cet ensemble compose une mosaïque disparate et souvent contradictoire. Ne parlons pas des élucubrations qu'a suscitées une mort brutale et quasiment programmée par une santé détruite.
Fidèle à la vérité la plus scrupuleuse, Bertrand Meyer-Stabley nous livre le récit d'une vie en zigzag où la gloire et la fortune, marquées par 26 films et 14 ans d'adulation, n'ont cessé de côtoyer la détresse intime la plus terrible. Car jamais Marilyn Monroe ne s'est remise de son enfance malheureuse et de ses débuts extrêmement difficiles dans le septième art. Jamais les paillettes d'une célébrité mondiale n'ont effacé les blessures infligées par une mère folle et un père inconnu. C'est une vie tragique et accidentée, creusée de l'intérieur au fil des années par un isolement de plus en plus douloureux, que l'auteur nous raconte avec un regard impartial et sur la base des documents les plus irréfutables.
Celle que l'on a appelée la Divine est demeurée l'une des
stars les plus mystérieuses du Septième Art. Cachée derrière
ses lunettes noires dès qu'elle quittait les plateaux de tournage,
elle n'a cessé de fuir. Née en Suède, encore inconnue mais
encouragée par l'un des maîtres du cinéma suédois, elle décide
de partir à Hollywood.
Maîtrisant mal l'anglais au début, elle se réfugie dans de
longs silences qui intriguent. Sa beauté saine et angélique, hors
des stéréotypes, fascine. Le mythe d'une femme inaccessible
naît rapidement après qu'elle a tourné quelques films qui
deviennent des oeuvres cultes (La Reine Christine, etc.). Pourtant
c'est au sommet de sa gloire qu'elle déclare en 1941 : «Je ne
tournerai plus jamais, Garbo est morte». Elle tient parole.
Installée dans un appartement à New York, elle se met à voyager,
esquive les photographes et s'abstient de toute apparition
publique. Pendant presque quarante ans, son ombre solitaire
erre de palace en palace, entre l'Europe et les Etats-Unis. Rares
sont les amis qui demeurent. L'errance prend fin le 16 avril 1990.
Pourquoi tant de secrets ? Pourquoi ce désir éperdu d'échapper
à la gloire ? En retraçant sa vie et ses amours féminines,
Bertrand Meyer-Stabley nous permet de percer le mystère
unique d'une femme que les projecteurs n'ont jamais éblouie.
La véritable Gala Dalí
Avec deux maris célèbres, le poète Paul Eluard et le peintre Salvador Dalí, devant lesquels elle se conduisit autant comme mère que comme épouse, Gala Diakonova est entrée dans la légende du surréalisme. Car cette inspiratrice hors pair fut aussi liée à d'innombrables artistes. Née à Moscou, d'un père incertain, elle montra très jeune un caractère doté d'une volonté féroce. Extrêmement séduisante, elle cacha mal un esprit dominateur et un goût immodéré pour l'argent et le luxe, indifférente au vide que sa cupidité et son cynisme creusèrent peu à peu autour d'elle. Il n'empêche : Dalí, qui ne cessa de la peindre tout au long de leur vie conjugale, lui dut sa fortune artistique et financière.
Qui fut donc celle femme fatale, secrète et farouche, sans pareille pour déceler les grands talents oe D'où tirait-elle sa force oe En nous donnant les clés de sa personnalité, Bertrand Meyer-Stabley nous raconte non seulement la vie étourdissante d'une célèbre muse mais il nous plonge dans l'un des mouvements artistiques les plus féconds et turbulents du XXè siècle.
C'est au fond de la Mer du Nord, enveloppée de brouillard et de mélancolie, lorsque son mari, Lord Louis Mountbatten, dernier vice-roi des Indes, jeta son cercueil à la mer, que Lady Edwina Mountbatten, trouva enfin la paix et le silence qu'elle n'avait jamais cessé de chercher pendant cinquante-neuf années d'une vie tumultueuse.
Edwina Ashley Mountbatten aura été un personnage hors du commun, de par sa personnalité, ses origines, son milieu, son mariage. et par cette manière extraordinaire de s'être façonné une vie à sa mesure. Filleule du roi d'Angleterre, petite-fille d'Ernest Cassel, l'homme le plus riche du monde, tour à tour, jeune femme belle et égoïste, indépendante et généreuse, futile et dévouée, intelligente et courageuse, non conventionnelle et fière de son rang, elle entra dans l'histoire en devenant la dernière vice-reine des Indes, incarnant un véritable personnage de roman, un modèle unique et presque idéal.
Charlie Chaplin a cinquante-quatre ans lorsqu'il épouse, le 16 juin 1943, Oona O'Neill, âgée d'à peine dix-huit ans, fille du dramaturge et prix Nobel Eugene O'Neill qui la déshérite tandis que la presse traite Charlot de Barbe-Bleue.
Or, après trois mariages malheureux, celui-ci a enfin trouvé la femme-enfant qu'il avait toujours recherchée et le bonheur vainement poursuivi. Sacrifiant sa carrière prometteuse de comédienne, Oona se consacre exclusivement au bien-être de son époux, lui apportant paix et stabilité. Ils ont huit enfants et connaissent trente-quatre ans d'harmonie malgré l'exil en Suisse, les déceptions professionnelles et les épreuves.
Qui était donc celle qui vécut dans l'ombre de Chaplin alors que ses photos emplissaient les magazines people de l'époque ? Quelles relations entretint-elle avec ses enfants ? Quelles furent ses passions secrètes et ses vrais amis ? Quelle place garda dans son coeur J. D. Salinger, son premier boy friend ? Quel fut le jeu d'Orson Welles, son cicerone à Hollywood ? Quels rôles eurent vraiment Ryan O'Neal et David Bowie dans ses années de veuvage ? Et quelle sorte de lien l'unit pendant une grande partie de sa vie à Truman Capote ? Grâce aux témoignages inédits de plusieurs de ses enfants, Bertrand Meyer-Stabley répond à ces questions et nous restitue le parcours étonnant d'une muse, fille et épouse de génies.
Mais son livre est aussi le portrait d'un clan, des destinées éparpillées des huit enfants Chaplin, le singulier tableau d'une étonnante fratrie.
D'une beauté renversante à la ville comme dans les films, ava gardner connut la gloire et les honneurs, mais jamais le bonheur tant les passions orageuses, les maris brutaux et les excès d'alcool furent son lot quotidien.
Aussi destructrice qu'a été sa vie, c'est elle qui l'a choisie de bout en bout ! de la séductrice insatisfaite à l'idole brisée, de l'actrice adulée à la femme abandonnée, ava gardner a fait de son existence le plus fascinant des scénarios et les similitudes entre son destin et ses rôles sont multiples. trois maris (dont frank sinatra), des douzaines d'amants célèbres (dont luis miguel donringuin et porfirio rubirosa), une collection de personnages mythiques, des partenaires légendaires, celle que l'on décrivit comme " le plus bel animal du monde " eut une vie de star hors normes, pleine de fougue et de passion.
Un destin de déesse sexy, libre de la tête aux pieds, belle et rebelle. il y eut toujours dans sa vie un parfum de swing, d'espagne, de corrida et de mélancolique débauche. de sinatra à howard hughes ou à hemingway, les hommes le percevaient bien, qui n'en finirent jamais de se brûler à son ardeur. mais quelle femme se dissimulait derrière le masque de cette éternelle " comtesse aux pieds nus " ? bertrand meyer-slabley nous offre un portrait inoubliable de cette actrice racée, ivre d'excès, qui n'a jamais vraiment trouvé la paix.
La biographie de la princesse Margaret par un ancien membre du service de presse de Buckingham Palace.
Raison du coeur contre raison d'Etat. Pour l'amour de Wallis Simpson, future duchesse de Windsor, Edward VIII, roi d'Angleterre, renonce au trône. Ni la famille royale ni l'Eglise d'Angleterre ne peuvent, en effet, tolérer le mariage de leur souverain avec une roturière américaine, deux fois divorcée. Edward abdique le 10 décembre 1936, se marie quelques mois plus tard et commence un long exil avec celle que son coeur a choisie.
Une longue vie errante aussi, de palaces somptueux en villégiatures dorées. Car Wallis aime le luxe, les fêtes et les toilettes. Elle est élégante, raffinée, pleine d'humour, perfectionniste et garde à toute heure le sourire aux lèvres. «On n'est jamais assez mince ni assez riche», dit-elle. Comme elle aime recevoir, chacune de ses réceptions laisse un souvenir émerveillé à ses invités.
Rarement personnage fut aussi vilipendé. Arriviste ? Cupide ? Méchante ? On a caricaturé son goût des bijoux, ses excentricités, ses caprices en oubliant trop souvent qu'elle était intelligente, lucide et passionnée.
En nous racontant son destin exceptionnel, Bertrand Meyer-Stabley révèle ici une personnalité aussi secrète que subtile et nous plonge dans une histoire d'amour hors du commun qui défraya en son temps la chronique.
La vie d'Ingrid Bergman est l'une des plus mouvementées que connurent les grandes stars du vingtième siècle. Orpheline de mère à deux ans, c'est par un travail acharné qu'elle accède rapidement à la gloire internationale en quittant sa Suède natale pour devenir la reine de Hollywood. Mais qui pouvait deviner que son visage d'ange allait bientôt semer le scandale ?
En s'éprenant du cinéaste italien Roberto Rossellini, marié comme elle, en abandonnant son mari et sa fille pour associer ouvertement sa vie à la sienne, elle lance l'un des plus formidables défis à la société de son temps. Adulée jusqu'ici, elle devient brutalement synonyme de femme perdue et débauchée, déchaînant une haine populaire et médiatique d'une rare ampleur. Mais elle n'est pas de celles qui baissent la tête. A force de ténacité, après que chacun eut obtenu le divorce, leur mariage est célébré. Ensemble, ils tournent des films qui marquent une étape déterminante dans l'histoire du septième art. Trois enfants naissent à leur foyer avant que la discorde ne les sépare.
Ingrid Bergman, qui a toujours privilégié sa carrière, continuera à briller dans de nombreux films et sous la direction des plus grands cinéastes. Seul un terrible cancer, contre lequel elle luttera avec une énergie héroïque pendant des années et qui finira par l'emporter prématurément en 1982, aura raison de son insatiable appétit de vie.
C'est ce destin saisissant, marqué par une volonté de fer dissimulée sous un visage d'une insondable pureté, que nous raconte avec brio Bertrand Meyer-Stabley, grâce à de nombreux témoignages et correspondances inédits.
Lorsque Soraya épouse le shah d'Iran, en 1951, et devient impératrice, le monde entier tombe sous le charme de cette jeune femme au teint de lys et aux yeux couleur d'émeraude. Sa robe de mariée, signée par Christian Dior, tout en satin et brocart, pèse vingt kilos.
C'est une des plus bouleversantes histoires d'amour du XXe siècle qui commence. Et une des plus cruelles aussi. Car, bien que toujours profondément amoureux, le couple doit se séparer sept ans plus tard : Soraya, stérile, n'a pu donner d'héritier au trône malgré de multiples consultations chez des sommités médicales. Pour elle, c'est l'effondrement. Incapable de sourire désormais, la princesse s'efforce de noyer en vain sa douleur dans le luxe et les mondanités, puis dans le cinéma. Elle s'étourdit aussi par d'incessants voyages. Mais son destin tragique semble plus fort qu'elle : alors qu'elle traque un bonheur qui se dérobe, tous les hommes qu'elle tente d'aimer au fil des ans disparaissent dans des conditions brutales, sinon mystérieuses, en la laissant plus solitaire que jamais et cependant toujours prête à renaître à la vie.
Biographe des stars, Bertrand Meyer-Stabley perce le mystère d'une femme très secrète, iranienne par son père et allemande par sa mère, qui, propulsée très jeune au sommet de la notoriété, ne parvint jamais à oublier son premier amour.
La vie a mal commencé pour Sophia: une mère seule, abandonnée par son père; une extrême pauvreté qui l'oblige à marcher pieds nus dans les rues; une guerre qui lui fait connaître la faim; une adolescence qui lui façonne une silhouette malingre et un visage ingrat. Pourtant, dans les années 1950, elle devient très vite une grande star interna-tionale, que vont couronner deux oscars et d'innombrables récompenses. Comment cette petite Napolitaine si démunie à la naissance est-elle parvenue à s'imposer comme l'une des femmes les plus rayonnantes de son tempsoe Comment a-t-elle pu accéder à une telle gloire et à une telle fortune?
Bertrand Meyer-Stabley nous raconte sa vie publique et privée. Celle-ci pourrait ressembler à un conte de fées s'il n'y avait eu, souvent méconnus, un travail acharné et une volonté inouïe de perfectionner son art de comédienne, ainsi que d'incessantes épreuves toujours surmontées avec détermination. Liée très jeune au producteur Carlo Ponti, déjà marié et de vingt-quatre ans plus âgé, auquel elle peut enfin s'unir au Mexique après de longues années de procé-dures, Sophia Loren affronte avec courage les menaces d'excommunication et la haine des associations puritaines. Malgré sa fidélité, elle n'en connaît pas moins les tentations (un coup de foudre pour Cary Grant qui veut l'épouser) et les amitiés complices (Marcello Mastroianni, Richard Burton). Ses maternités difficiles, ses déboires avec le fisc italien qui la conduisent en prison, font la une des journaux. Mais elle finit toujours par remporter la victoire. Et, aujourd'hui, en dépit d'une présence beaucoup moins soutenue sur les écrans de cinéma, sa beauté légendaire traverse les années avec un éclat magique qui continue de fasciner. Chacune de ses appa-ritions n'est-elle pas un événementoe C'est le secret de cette prodigieuse réussite que l'auteur nous dévoile ici.
Il avait la jeunesse, la beauté, la force, la richesse et le
charisme propre à bien des membres de sa famille. Fils du
président John Fitzgerald Kennedy, John John passe ses
premières années à la Maison-Blanche sous l'oeil vigilant
de Jackie, sa mère, l'une des femmes les plus adulées de
l'époque. Une enfance joyeuse et équilibrée jusqu'au jour où
surgit le drame... Nul n'a oublié le geste du petit garçon
effectuant le salut militaire devant le cercueil de son père.
Que devint-il ? Quelle fut son adolescence ? Comment
vécut-il le remariage de sa mère avec Onassis ? Pourquoi, alors
que toutes les femmes tombaient à ses pieds, se choisit-il une
épouse loin de ses idéaux ? Comment cet être rayonnant,
sportif et éclatant de santé, auquel tout semblait possible,
dirigea-t-il sa vie jusqu'à subir de plein fouet la «malédiction
des Kennedy» dans un tragique accident d'avion, au large
des côtes du Massachusetts oe
Bertrand Meyer-Stabley nous raconte ce destin prometteur
et fulgurant, fauché brutalement à trente-huit ans, en pleine
fleur de l'âge.
en mars 2007 sir reginald kenneth dwight fête son soixantième anniversaire et ses quarante ans de carrière.
cette nouvelle ne présenterait guère d'intérêt si le sexagénaire en question ne s'appelait, à la scène et pour la postérité, elton john.
elton l'excentrique, elton l'exubérant, dont les facéties et le mauvais goût tapageur ont souvent occulté la véritable personnalité. derrière le masque en trompe-l'oeil s'est longtemps caché un artiste sensible, compositeur fécond et pianiste surdoué. pourtant, cet homme adulé par des millions de fans ne s'est pas aimé ; il a cherché un exutoire dans l'alcool, le sexe et la drogue.
à l'approche de la cinquantaine, elton john s'offre le luxe d'un repentir sincère : il fait la paix avec lui-même et affiche son homosexualité.
il rencontre le grand amour, s'investit dans l'aide aux malades du sida, compose de somptueuses musiques de films et des comédies musicales.
de son premier mariage avec renate blauel au second avec david furnish, de sa belle amitié avec la princesse diana à sa tendresse pour gianni versace, de sa complicité avec john lennon à ses disputes avec madonna ou george michael, voici racontée l'une des plus grandes rock stars de la planète, tantôt docteur elton, tantôt mister john.
Avec de nombreux témoignages sur Grâce, B. Meyer-Stabley raconte le destin exceptionnel de cette star d'Hollywood devenue princesse en épousant en 1956 le prince Rainier, et cerne l'une des figures les plus admirées de ce temps.