Ce livre que vous avez entre les mains est le seul qui m'apprit, alors que j'écrivais Le Jour le plus long, que les Français participèrent à la délivrance de leur grand et glorieux pays, en même temps qu'à celle d'un continent de trois cents millions d'hommes asservis.
Le chef qui conduisit ces vaillants Français aux cinq plages sanglantes de Normandie fut mon ami le "pacha", le commandant Philippe Kieffer. En lisant son livre, j'appris qu'il avait débarqué à la tête de deux cents Français et j'en fus surpris. Combien de correspondants de guerre britanniques et américains avaient connu, me demandais-je, cette participation française au débarquement ? Bien entendu, c'était une petite unité qui passait inaperçue, mais elle tenait une place importante sur les grandes cartes de l'état-major suprême.
Sa mission paraissait impossible pour son effectif s'emparer du central téléphonique d'Ouistreham, saisir les écluses, prendre le casino. Les hommes de Kieffer, nous le savons aujourd'hui, atteignirent tous ces objectifs, mais à un prix très élevé. Kieffer, blessé deux fois dans la journée, constitua le centre de ralliement, la force agissante qui ouvrit le chemin. Jamais il ne réclama de ses hommes quelque chose qu'il n'eût pu accomplir lui-même, et on l'aimait pour cela.
(Cornelius Ryan.)
Ce livre est un événement. André Rousselet, qui n'avait jamais raconté sa vie, se confie pour la première fois. Ami de longue date puis exécuteur testamentaire de François Mitterrand, fondateur de Canal Plus, président de la G7, directeur de cabinet du président de la République, président de Havas, collectionneur d'art... André Rousselet, que rien ne destinait à une existence aussi romanesque, s'est trouvé au centre de la vie politique et médiatique de la Ve République. Avec humour ou gravité, toujours direct, il retrace ici un parcours extraordinaire et nous entraîne dans une surprenante autobiographie pleine de révélations.
Qui n'a jamais joué à Mario, le plombier le plus célèbre de la planète ? Sa salopette est aujourd'hui aussi emblématique que le masque de Zorro autrefois.
Dans les années 1970, les salles de jeux envahissent les centres-villes. Pac-Man et Space Invaders sont les premiers rois de la fête, les "gamers" de l'époque se souviennent avoir passé des heures dans ces lieux terriblement bruyants et surpeuplés mais tellement exaltants ! Au début des années 1980, les toutes premières consoles de salon avec Pong et les Game and Watch font leur apparition : Mickey, Popeye, Donkey Kong et déjà Mario essayaient désespérément de rattraper des boîtes de conserve.
Le temps de la couleur n'est pas encore venu, mais les premiers graphismes sont désormais inoubliables. Ces ancêtres de la Game Boy rencontrent un vrai succès. A la fin des années 1980, les progrès technologiques s'accélèrent, les aventures sont scénarisées, l'ère du jeu vidéo va pouvoir commencer. Présenté par Marcus, le testeur de jeu professionnel français, l'homme qui a joué à tous les jeux de l'univers visible et invisible, voici un album nostalgie, le livre des années jeux vidéo.
A l'aide de sa superbe collection, de ses archives et de ses nombreux souvenirs, partez au pays des petits êtres en deux dimensions sur fond de musique électronique.
Dans son autobiographie, Confessions d'un Babyboomer, Thierry Ardisson nous racontait sa vie jusqu'au démarrage de « Tout le monde en parle », l'émission phénomène de France 2.
En février 2013, l'Homme en Noir passe à la suite : voici « Magnéto, Serge ! » Pour ce second tome, toujours en compagnie de Philippe Kieffer, Thierry a revisionné les plus grands moments des huit saisons de « Tout le monde en parle » avec la possibilité d'arrêter la projection pour en commenter l'action, décrypter une attitude, ou révéler un secret.
Jamel Debbouze qui vanne Philippe de Gaulle, Gad Elmaleh en Chouchou, la pause-bisou de Bruce Willis, l'Ardiview de Mikhaïl Gorbatchev, Bret Easton Ellis, Marylin Manson, Brad Pitt, Tom Wolfe, Gwen Stefani, Michel Houellebecq, Jamiroquai, Matt Damon : avec « Magnéto, Serge ! », revivez le meilleur de l'émission culte, sans oublier, les clashs, les têtes de turc, les infréquentables, les grands témoins et les coups de foudre !
Pour se confesser, Thierry Ardisson aurait pu se contenter d'aller voir un prêtre, mais il s'est adressé à un journaliste. Cela donne Confessions d'un Bobyboomer, un livre où il énumère tous ses péchés : le pape, la pop, la dope, le Palace, la presse, le punk, la pub, le PAF, la hype, les hippies... et les people. Des péchés qui sont ceux d'une génération. Une génération qui a préféré Lennon à Lénine et Stallone à Staline. Une génération qui n'a pas changé le monde, mais qui s'est bien amusée.