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Le carnet brun : journal intime (1865 -1882)
Richard Wagner
- GALLIMARD
- Hors Serie Connaissance
- 2 Mars 2023
- 9782072943331
Objet entouré d'un profond mystère pendant près d'un siècle, Le Carnet brun de Richard Wagner n'est publié en allemand qu'en 1975. Cet épais cahier relié de cuir marron fut offert en 1865 par Cosima Liszt von Bülow à son amant lors d'une longue séparation pour qu'il y consigne ses pensées. De journal intime auquel Wagner confesse ses déboires sentimentaux, son contenu prend ensuite la forme d'un carnet de notes traitant des événements de son quotidien - les difficultés rencontrées avec son mécène Louis II de Bavière, la perte de ses amis... -, préparant son autobiographie ou bien accueillant ses réflexions sur Beethoven, des poèmes, la première esquisse en prose pour Parsifal ou des écrits divers sur les sujets musicaux, sociaux ou scientifiques.Pour la première fois, les curieux comme les mélomanes pourront lire, enfin traduite en français, l'intégralité de ces pages qui n'étaient pas destinées à être publiées.
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L'existence d'une autobiographie rédigée de façon aussi précise et méticuleuse que Ma Vie est une chance exceptionnelle pour la postérité, qui dispose ainsi d'un document de première main, même si sa fiabilité est parfois sujette à caution. Certes, le récit ne couvre qu'une partie du parcours artistique, politique et intellectuel du compositeur : il commence avec sa naissance à Leipzig en 1813 et s'arrête en 1864, au moment où le roi Louis II de Bavière lui accorde sa protection. Cette autobiographie propose une fresque haute en couleurs, riche en événements et d'une grande précision sur les cinquante premières années de la vie du compositeur ; elle permet d'entrer dans l'intimité de la genèse de son oeuvre, de ses premiers émois amoureux ; de vivre avec lui sa rocambolesque fuite de Riga, ses difficiles séjours à Paris, sa participation à la révolution de 1849 à Dresde et son long exil suisse dans les années 1850.
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Richard Wagner : Lettres du jeune Richard Wagner à son ami Theodor Apel
Richard Wagner
- La Part Commune
- Silhouettes Litteraires
- 23 Avril 2024
- 9782844184696
Les 41 lettres inédites que contient cet ouvrage retracent en détail les débuts tourmentés de l'artiste en perpétuel manque d'argent, la composition de ses premiers opéras, son activité de chef d'orchestre et sa relation tumultueuse avec la comédienne Minna Planer.
Quand Richard Wagner envoya sa première lettre de Bohème à son ami d'enfance Theodor Apel, il n'était âgé que de 19 ans. Le jeune musicien se mit alors à lui confier aussi bien ses peines de coeur que ses rêves d'avenir.
Cette correspondance pleine de rires et de pleurs, au cours de laquelle petit à petit l'insouciance de la jeunesse fait place au sérieux de l'existence, offre assurément un regard nouveau sur le compositeur.
Eva Perrier, traductrice de cette correspondance, a replacé les différentes lettres dans leur contexte afin de les rendre aisément accessibles au lecteur. -
Échappant à la tutelle du nain Mime, Siegfried a reforgé Nothung, l'épée de son père Siegmund, et s'enfonce dans la forêt à la recherche du dragon Fafner, gardien de l'anneau magique. Guidé par l'Oiseau, il le trouve, le tue et s'empare de l'anneau. Il tue aussi Mime qui cherchait à l'empoisonner, et désarme Wotan qui voulait l'empêcher d'arriver jusqu'à Brünnhilde endormie, protégée par un mur de feu. Siegfried, qui ne connaît pas la peur, passe à travers les flammes et va réveiller d'un baiser la Walkyrie déchue...
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Crepuscule des dieux - - bilingue allemand
Richard Wagner
- Flammarion
- Gf ; Bilingue
- 25 Janvier 1994
- 9782080708236
Hagen, fils d'Alberich, convoite toujours l'anneau. Il promet Brünnhilde à son demi-frère Günther sans lui dire qu'elle est l'épouse de Siegfried. Celui-ci, ayant bu un philtre qui lui a fait perdre la mémoire, ne sait plus que Brünnhilde est sa femme. Il va lui-même l'enlever à son rocher pour l'offrir à Günther. Hagen propose alors à Bünnhilde de la venger de cet affront et tue Siegfried d'un coup de lance dans le dos, mais ne peut prendre l'anneau que le héros tient serré dans sa main. Brünnhilde, qui a compris la machination du traître, fait dresser un bûcher où elle dépose le corps de Siegfried et se précipite elle-même dans les flammes. Le feu s'étend jusqu'au Walhalla, qui s'écroule.
Un crépuscule éternel va commencer pour les dieux ; l'univers restera sans maîtres, mais conservera un bien précieux entre tous qu'il devra chérir plus que l'or : l'amour. Et l'anneau retrouvera sa place dans les profondeurs du Rhin.
Après le prologue de L'Or du Rhin, La Walkyrie et Siegfried, Crépuscule des dieux est la troisième et dernière journée de L'Anneau du Nibelung.
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La Walkyrie Brünnhilde a désobéi à son père, le dieu Wotan : elle a voulu soustraire à sa justice le guerrier Siegmund, frère et amant de Sieglinde. Cédant aux exigences de son épouse, l'inflexible Fricka, Wotan fait tuer Siegmund par Hunding, le mari de Sieglinde, et punit sa fille rebelle. Brünnhilde, déchue de sa condition divine, devient une simple mortelle. Exilée du Walhalla, endormie à l'abri d'un cercle de feu tracé par son père, elle ne s'éveillera qu'à l'appel d'un héros pur et inaccessible à la peur. Cet homme sera Siegfried, le fils de Siegmund et Sieglinde.Après le prologue de L'Or du Rhin, La Walkyrie est la première journée de L'Anneau du Nibelung.
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Paru chez Grasset en 1935, les Lettres françaises de Wagner est pour cette édition dans les Cahiers rouges concentré aux cinquante plus importantes lettres du compositeur. La première date de 1840, la dernière de 1882, un an avant sa mort. Elles montrent l'importance du rôle de la France pour sa carrière et sa vie personnelle. Elles rappellent, d'abord, la misère et la tristesse dans laquelle il a vécu lors de son premier séjour à Paris, sa découverte de la musique contemporaine française, son admiration pour Berlioz, son émotion après avoir lu l'éloge d'un de ses opéras par Gérard de Nerval. Elles révèlent, ensuite, sa grande proximité avec Liszt, à qui il confie ses émois, ses doutes, ses joies et déceptions artistiques. Elles révèlent, enfin, son intimité, de l'amitié avec Catulle Mendès à son amour fou pour sa femme, Judith Gautier, fille de Théophile, en passant par sa solitude et sa souffrance. Le meilleur de Wagner, loin des délires de ses pamphlets contre les Juifs dans la musique et autres délires idéologico-mystiques.
Entre chacune des lettres, un commentaire revient sur le contexte dans lequel Wagner les écrit : à quelle oeuvre il travaille, qui il fréquente, la bienveillance ou, plus souvent, la malveillance de la critique à son égard, l'état des rapports entre les nations d'Europe, notamment la France et l'Allemagne. Les informations sont si nombreuses, et les lettres si personnelles, qu'on pourrait qualifier ce livre d'autobiographie. L'intimité d'un génie de la musique.
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Le chef-d'oeuvre de Wagner est d'abord un poème dramatique. C'est ce que cette traduction entièrement nouvelle veut prouver : avant même la géniale beauté de la musique, celle d'un texte littéraire (écrit avant la musique, en 1857), qui est l'aboutissement de toute une tradition médiévale, que Wagner connaissait fort bien, et le grand mythe de l'amour en Occident. Les amateurs d'opéra (et de littérature) apprécieront pleinement le texte dans cette version bilingue. Ainsi revivront-ils à la fois le mythe, et l'histoire personnelle de Wagner lui-même, éperdument amoureux de Mathilde Wesendonck. Il écrivait à Liszt : «Comme je n'ai, dans mon existence, jamais connu le vrai bonheur de l'amour, je veux encore élever au plus beau de tous les rêves un monument où, depuis le commencement jusqu'à la fin, cet amour s'accomplira cette fois vraiment jusqu'à saturation.»
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Publiée pour la première fois en France chez Gallimard, il y a soixante-dix ans, cette correspondance est aujourd'hui présentée dans une nouvelle édition, revue et augmentée.
Pourvue d'un appareil critique très riche, comportant de nombreux documents en partie ou tout à fait inédits, elle éclaire l'amitié, parfois orageuse, qui unit Wagner et Liszt, dont l'aide au révolutionnaire proscrit que le premier a été après 1849 se révéla décisive. Elle permet de suivre, entre 1841 et 1882, la genèse des travaux théoriques de Wagner et de ses principaux chefs-d'oeuvre, depuis L'Or du Rhin jusqu'à Parsifal, au fil d'une existence particulièrement mouvementée. Enfin, comme l'un et l'autre furent de grands voyageurs, elle constitue une source d'informations précieuses sur la vie musicale de leur temps, en Allemagne et dans la plupart des pays d'Europe, où ils se sont produits comme créateurs et interprètes.
Autant dire qu'au moment où, deux ans après le bicentenaire de la naissance de Liszt, on célèbre celui de Wagner, ce livre comblera les wagnériens, les lisztiens, mais aussi tous les mélomanes désireux de mieux connaître une des époques les plus fécondes de l'histoire de la musique occidentale
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« Rien ne fait plus de tort à Wagner, et rien n'a plus contribué à amener chez nous le mouvement de réaction antiwagnérien qui se dessine maintenant, que l'absurdité monumentale de ses traductions. Elles ne sont ni françaises ni même intelligibles dans aucune langue. ?» (lettre de Romain Rolland à Richard Strauss, 12 novembre 1905) Henri Christophe a réalisé cette traduction en 1991 à l'occasion de la diffusion sur Arte de la fameuse tétralogie dirigée par Pierre Boulez et mise en scène par Patrice Chéreau en 1976 à Bayreuth. Elle a été conçue pour un dialogue théâtral brûlant de tension dramatique et pour une production résolument dépoussiérée et moderne, loin du livre illustré.
Comment restituer, dans une traduction envisagée pour la scène moderne, cette liberté de création poétique, ces aspects formels spécifiquement créés pour le dialogue wagnérien ?? Comment traduire une langue qui se veut archaïque, un style qui use de nombreux mots médiévaux et de cascades de néologismes parfois onomatopéiques, ceci afin de renvoyer l'auditeur aux temps anciens des origines ??
Le traducteur s'est efforcé de respecter les aspects sonores et novateurs de la langue wagnérienne en conservant autant que possible, comme révélateurs de l'état d'esprit de chaque personnage, les tournures négatives, l'ordre syntaxique, les mises en relief, les formules actives et passives.
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Tristan et yseult. poeme et musique de richard wagner. version francaise de victor wilder (ed.1886)
Richard Wagner
- Hachette Bnf
- 1 Avril 2012
- 9782012774902
Tristan et Yseult. Poème et musique de Richard Wagner. Version française de Victor Wilder http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5467721c
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Une communication a mes amis / lettre sur la musique
Richard Wagner
- Mercure De France
- 2 Septembre 1976
- 9782715210813
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Tannhaeuser, ou le tournoi des chanteurs a la wartburg (ed.1896)
Richard Wagner
- Hachette Bnf
- 1 Mai 2012
- 9782012627451
Tannhaeuser, ou le Tournoi des chanteurs à la Wartburg... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5467685z
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Les operas de wagner : tannhaeuser, lohengrin, parsifal. t. ier (ed.1896)
Richard Wagner
- Hachette Bnf
- 1 Mai 2012
- 9782012697188
Les Opéras de Wagner : Tannhaeuser, Lohengrin, Parsifal. T. Ier http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54631620
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Tristan et Yseult. Poème et musique de Richard Wagner. Version française de Victor Wilder Date de l'édition originale : 1886 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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Tannhaeuser ou le tournoi des chanteurs a la wartburg, dediee a cosima wagner
Richard Wagner
- Hachette Bnf
- 1 Novembre 2017
- 9782019200381
Tannhaeuser, ou le Tournoi des chanteurs à la Wartburg : dédiée à Cosima Wagner / de Richard Wagner ; traduction par J. Arthur Delpit Date de l'édition originale : 1896 Comprend : [Lettre-réponse à Jean-Arthur Delpit, Bayreuth, 26 novembre 1895] Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
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En parlant ainsi, il remplit de nouveau les verres, et nous les vidâmes jusqu'à la dernière goutte.
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Siegfried et le Crépuscule des dieux, par Richard Wagner. Avec illustrations par Arthur Rackham. Traduits en prose rythmée par Alfred Ernst Date de l'édition originale : 1911 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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Sur un concert de Richard Wagner. 25 janvier, 1er et 8 février 1860 : Opéras Le Vaisseau-fantôme, Tannhaeuser, Tristan et Isolde, Lohengrin
Richard Wagner
- Hachette Bnf
- 1 Juillet 2021
- 9782329618616
Concert de Richard Wagner [25 janvier, 1er et 8 février 1860, salle Ventadour]. Dans l'impossibilité de faire entendre en entier ses opéras [Le Vaisseau-fantôme, Tannhaeuser, Tristan et Isolde, Lohengrin], l'auteur se permet d'offrir au public quelques lignes d'explication qui lui feront mieux comprendre le sens des morceaux détachés qu'il lui soumet aujourd'hui
Date de l'édition originale : 1860
Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
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Grünliche Dämmerung, nach oben zu lichter, nach unten zu dunkler. Die Hohe ist von wogendem Gewässer erfüllt, das rastlos von rechts nach links zustromt. Nach der Tiefe zu losen sich die Fluten in einen immer feineren feuchten Nebel auf, so daß der Raum der Manneshohe vom Boden auf gänzlich frei von Wasser zu sein scheint, welches wie in Wolkenzügen über den nächtlichen Grund dahinfließt. Überall ragen schroffe Felsenriffe aus der Tiefe auf und grenzen den Raum der Bühne ab; der ganze Boden ist in ein wildes Zackengewirr zerspalten, so daß er nirgends vollkommen eben ist und nach allen Seiten hin in dichtester Finsternis tiefere Schlüffte annehmen läßt. Um ein Riff in der Mitte der Bühne, welches mit seiner schlanken Spitze bis in die dichtere, heller dämmernde Wasserflut hinaufragt, kreist in anmutig schwimmender Bewegung eine der Rheintochter Volles Wogen der Wassertiefe.
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Steiles Felsenufer. Das Meer nimmt den großten Teil der Bühne ein; weite Aussicht auf dasselbe. Die Felsen im Vordergrund bilden auf beiden Seiten Schluchten, aus denen die Echos antworten. Finsteres Wetter; heftiger Sturm; zwischen den Felsen selbst verliert der Wind, den man in offener See die Wogen peitschen sieht, seine Macht; nur von Zeit zu Zeit scheint das Heulen des Sturms hereinzudringen. Das Schiff Dalands hat soeben dicht am Ufer Anker geworfen; die Mannschaft ist in geräuschvoller Arbeit beschäftigt, die Segel aufzustreichen, Taue auszuwerfen u.s.w. Daland ist ans Land gegangen; er steigt auf einen Felsen und sucht landeinwärts die Gegend zu erkennen MATROSEN während der Arbeit. Johohe! Hallajo! Hohoha! Hallojo! Ho! Ha! Ha! Ja! Hallajo! Hallaha! Hallahoja! DALAND kommt vom Felsen herab. Kein Zweifel! Sieben Meilen fort trieb uns der Sturm vom sichren Port. So nah dem Ziel nach langer Fahrt, war mir der Streich noch aufgespart!