En pleine nuit, au milieu de nulle part, un homme surgit et se fait renverser. À ses côtés, un sac rempli de billets.
Voleur ? Trafiquant ? Peu importe. Deux millions d'euros, là, à portée de main. Aucun témoin. Que faire ? Appeler la police, ou disparaître avec l'argent ? Vigo et Sylvain, jeunes informaticiens au chômage, ne tardent pas à se décider.
Le lendemain, une fillette aveugle est retrouvée morte dans un entrepôt. Peu après, une autre est enlevée. Diabétique. Ses heures sont comptées.
Et si le magot n'était autre que la rançon destinée à sauver la vie d'une gamine ?
La Chambre des morts, Prix Quais du Polar 2006 et Prix SNCF du polar 2006, est le deuxième titre de la collection « Écho ». Depuis sa première publication en 2005, le livre a connu un important succès critique et public (plus de 250 000 ex. vendus), et a fait l'objet de multiples traductions et d'une adaptation cinématographique.
Et si, pour vos 50 ans, vous héritiez d'un pistolet ? C'est ce legs que vous offre L'Indélicatesse, roman pétillant, tour à tour ludique et mélancolique.
En apparence, la vie de Xavier Bovary est une réussite notoire. Son métier de dermatologue lui permet d'examiner toute une gamme d'épidermes sans que personne ne s'aperçoive de son penchant peu commun pour la peau. La patientèle afflue, son épouse est d'une beauté troublante, ses enfants truculents mordent la vie à pleines dents.
Tout semble donc aller pour le mieux, jusqu'au jour où, pour ses 50 ans, Xavier reçoit un colis notarié pour le moins inattendu. Transmis comme un mauvais gène par son grand-père mort vingt ans auparavant, le scellé dont il devient le propriétaire contient un vieux pistolet chargé.
Pourquoi ce legs ? L'incompréhension de Xavier est totale. La tranquillité de son existence vole en éclats et il se trouve renvoyé à ses contradictions les plus profondes. Alors, sans vraiment le vouloir, peut-être guidé par le souvenir de son grand-père et sa volonté de chasser l'indélicatesse où qu'elle se trouve, il commet l'irréparable.
Roman pétillant, tour à tour ludique et mélancolique, L'Indélicatesse s'empare lentement du lecteur pour le serrer comme un boa.
Gouverneurs de la rosée narre le retour d'un habitant de Fonds-Rouge sur sa terre natale après quinze ans de travail à Cuba. Fort de cette expérience, il réussit à sauver sa communauté de la sécheresse en trouvant une source d'eau et en réinstaurant la pratique de la coumbite ou travail agricole collectif. Réunissant plusieurs préoccupations de l'indigénisme de Roumain : la compatibilité entre l'expérience scientifique et certaines pratiques traditionnelles, l'éradication des divisions de couleur au profit de la lutte des classes, et la reprise en main par le peuple haïtien du contrôle de la terre, ce roman, qui, depuis sa publication, a été autant loué que critiqué, demeure une référence incontournable de la littérature antillaise, tant pour son apport idéologique que pour la tendresse de son art.
Hiver 2006. Coeur de la Forêt-Noire.
Le froid, la neige, l'isolement... Les conditions idéales pour écrire sur un tueur en série, retrouvé pendu voilà plus d'un quart de siècle.
Le Bourreau 125...
Cent vingt-cinq, pour les cent vingt-cinq grammes de chair qu'il faisait prélever aux épouses sur leurs maris, avant de les torturer.
Aujourd'hui, Arthur Doffre, riche héritier, vieil homme paraplégique, souhaite le ramener à la vie par l'intermédiaire d'un roman. Un thriller que David Miller, embaumeur de profession et auteur de polar occasionnel, a un mois pour écrire, enfermé dans un chalet avec sa famille, Doffre et sa jeune compagne.
Mais il est des portes qu'il vaut mieux laisser fermées. et très vite, la psychose s'installe.
Dès lors, une seule idée pour les hôtes : la fuite.
Mais on ne quitte pas la Forêt-Noire si facilement. Pas avec une voiture mise hors d'état, pas en plein hiver, si loin de tout.
Ne reste alors qu'une seule solution : combattre ses peurs, repousser la folie, grouper ses maigres forces ; et affronter l'impensable...
Une femme à bout de souffle court sous l'orage. Dans le creux de sa main, un message gravé en lettres de sang : « Pr de retour ». Elle pense être en février, nous sommes fin avril. Elle croit sa mère vivante, celle-ci s'est suicidée voilà trois ans dans un hôpital psychiatrique...
Quatre minutes. C'est pour elle la durée approximative d'un souvenir. Après, les mots, les sons, les visages... tout disparaît.
Pourquoi ces traces de corde sur ses poignets ? Que signifient ces scarifications, ces phrases inscrites dans sa chair ? Quel rapport entre cette jeune femme et les six victimes retrouvées scalpées et torturées quatre années plus tôt ?
Pour Lucie Henebelle, promue lieutenant à la brigade criminelle de Lille depuis l'affaire de la « chambre des morts », la soirée devait être tranquille. Elle deviendra vite le pire de ses cauchemars... Une lutte s'engage, qui fera resurgir ses plus profonds démons.
Lamorlaye, Oise.
Vous rêvez. Vous vous voyez courir dans votre maison, les mains en sang. La police vous recherche pour le meurtre d'une gamine que vous ne connaissez pas.
Vous vous réveillez. Et vous comprenez que ces rêves sont votre futur. Vous, dans quelques jours...
Saint-Ouen, Seine-Saint-Denis.
Le corps mutilé d'une femme, enduit de vinaigre. Il semble avoir fait l'objet d'un rituel bien précis. Pour Victor Marchal, jeune lieutenant de police tout juste sorti de l'école, la descente aux enfers commence.
Aucune relation entre ces deux histoires, a priori. Et pourtant...
Alice Dehaene se recueille sur la tombe de sa sour jumelle, Dorothée, décédée dix ans auparavant. Une question la taraude : à quoi rime cette photo de Dorothée, prise il y a à peine six mois, qu'elle a récupérée des mains d'un immigré clandestin ?
Alice sait que quelque chose ne tourne pas rond dans sa tête. Son psychiatre à l'hôpital de Lille, Luc Graham, doit lui révéler le résultat d'un an de psychothérapie, lui apporter cette lumière qu'elle recherche depuis si longtemps. Mais les événements étranges qui se multiplient autour de la jeune femme vont l'en empêcher : son père, agressé chez lui à l'arme blanche, et qui prétend avoir tenté de se suicider ; ce chemisier ensanglanté qu'elle découvre dans sa douche, à propos duquel elle n'a pas le moindre souvenir ; et cet homme retrouvé nu à un abri de bus et qui semble avoir vu le diable en personne.
Grâce à l'intervention de Julie Roqueval, assistante sociale en psychiatrie, Luc Graham, d'abord dubitatif, se décide enfin à mener l'enquête. Un aller simple vers la folie.
Qui n'a jamais rencontré Catherine de Médicis, au détour d'un film ou d'un roman ? Dans la mémoire collective, son nom reste présent, à côté d'autres reines de France, comme Anne d'Autriche ou Marie-Antoinette. Mais l'image et la légende ont fini par effacer ce qu'a pu être cette femme extraordinaire, l'une des premières figures de la cour de France durant la Renaissance, où elle a tenu successivement les rôles de princesse, de dauphine, de reine, puis de régente et de reine mère.
Catherine de Médicis, c'est d'abord un art de gouverner qui accompagne la grande mue de la monarchie française : gestion plus administrative, recours à l'écrit, nouveaux rapports avec les grands corps de l'État, développement de la politique étrangère qui mélange diplomatie et espionnage. Son action politique est fondée sur une analyse lucide et parfois cruelle de la longue crise que connaît la France de la seconde moitié du XVIe siècle, prise dans le cycle incessant des conflits qui opposent protestants et catholiques.
Mais Catherine de Médicis, c'est aussi une commanditaire exceptionnelle d'oeuvres d'art, probablement l'une des premières de son siècle en France avec son beau-père, François Ier : rien ne lui échappe, ni l'architecture, ni la sculpture, ni la peinture, ni les arts décoratifs, et elle a des ambitions savantes, comme le rappelle son abondante bibliothèque. Elle est par ailleurs elle-même une source d'inspiration pour les créateurs, à la fois modèle à imiter et figure qui stimule l'imagination, Enfin, Catherine de Médicis est une femme qui s'impose dans un monde où le pouvoir et la gloire se déclinent habituellement au masculin. Elle n'a pu y parvenir que par des stratégies multiples et entrecroisées qui méritent d'être décryptées.
Dario, Massimo, Gabriele. Trois amis d'enfance. Ils avaient cru s'en être sortis mais, vingt-cinq ans plus tard, advient ce qu'ils redoutaient depuis toujours : la nuit terrible de l'été de leurs 18 ans revient les hanter. Et lorsque la vérité de leur crime resté impuni risque d'éclater, c'est l'amitié d'autrefois qui éclate elle aussi. Ce sont désormais des hommes qui ont une position sociale, une réputation et une famille à défendre. Pour sauver leur présent, ils sont prêts à tout, même à l'impensable.
Fuite en avant fatale, destins croisés et retournements : dans ce nouveau thriller lancé à cent à l'heure dans les rues de Rome, Gilda Piersanti démonte l'engrenage d'une violence irréversible et dévoile le retour des manipulations de jeunesse qui enfoncent ses protagonistes dans une spirale noircie par la trahison, le ressentiment et même la haine.
Est-ce bien raisonnable, tout ça ? Boire un jus de tomate à bord d'un avion après le crash du vol Rio-Paris, passe encore. Partir en Amazonie à la recherche d'un Indien que l'on a vu un soir à la télévision, sûrement pas. Mais Jeanne Beaulieu voyagera d'une drôle de manière, Tristes tropiques de Claude Lévi-Strauss dans une main, des histoires d'amour inachevées dans l'autre. Prendre la route, traverser les forêts, écouter des mélodies d'oiseaux, remonter l'Amazone ou le Guadalquivir, croiser Frida Kahlo et Don Quichotte. Où sommes-nous quand nous sommes quelque part ? Elle n'y peut rien, Jeanne Beaulieu se raconte des histoires qui la conduisent vers ses envies et ses fantômes, vers cet Indien qui lui échappe, vers le regard et les mains bien réelles d'un homme qu'elle n'oubliera jamais.
Jeanne n'est pas dupe. Les voyages exotiques n'existent pas. Au Brésil ou partout ailleurs, s'aventurer à la recherche de soi ranime les douleurs de l'enfance, fait naître des désirs inouïs et dresse devant soi des miroirs. Jeanne est une héroïne paradoxale de roman d'aventures qui aimerait voir se refléter sur l'eau tranquille le visage d'une femme libre.
Lors d'un voyage scolaire en allemagne, un jeune professeur découvre au camp de concentration de buchenwald la photographie d'un détenu dont la ressemblance avec son propre père adrien, le stupéfie.
Rentré en france, il retrouve son père, mais le souvenir de la photographie ne le quitte plus. il décide alors de se lancer dans une recherche qui va bouleverser sa vie. ce détenu, nommé david wagner, se révèle être son véritable grand-père. peu à peu se met en place l'autre famille, la branche wagner, la branche cachée, celle dont personne chez les fabre n'évoque l'existence. et c'est le destin croisé de ces deux familles, deux générations plus tôt, lorsque l'ambitieux david wagner rencontra le riche marcel fabre et sa femme virginie, qui éclate alors au grand jour, ainsi que les terribles conséquences que la liaison entre david et virginie entraîna.
Au cours de sa quête à travers la france et l'allemagne, dans la nouvelle vie qu'il tâche d'inventer avec une allemande qu'il vient de rencontrer, le jeune homme se rend compte qu'on ne se débarrasse pas si facilement du passé - ni du sien, ni de celui de sa famille. lorsqu'on remonte à l'origine de la violence, c'est sa propre violence qu'on finit par rencontrer.
Installée dans sa confortable petite maison en baie de Somme avec son fils et son mari, Margaux Novak connaît le bonheur tranquille de n'importe quelle mère de famille... lorsqu'une policière débarque chez elle pour mettre sa vie à sac.
Depuis quinze ans, celle-ci mène l'enquête sans relâche. Elle cherche un homme qui a assassiné femme et enfants avant de disparaître. Et elle pense l'avoir retrouvé en la personne de Philippe Novak, le mari de Margaux.
Sans ADN, sans preuve tangible de l'innocence ou de la culpabilité de Philippe, c'est parole contre parole entre la flic qui accuse et le mari soupçonné. Et pour Margaux, c'est le début d'une longue descente aux enfers. Très vite, son quotidien se trouve bouleversé. Le voisinage se retourne contre elle et sa famille commence à se faire harceler. La rumeur a décidé de s'inviter dans sa vie pour la détruire à petit feu, et ce sont des pans entiers de son existence qui s'effondrent.Entre deux cauchemars, lequel est le vrai ?
« Il est parti vers où ?
- Vers là...
- Tu en es sûr ?
- Non... je ne sais plus... C'est peut-être la sorcière...
- Dis-nous, Frédéric, tu as vu une dame ? Elle est venue vous parler ?
- Non, non ! Je n'ai vu personne. Moi, j'suis retourné voir les autres...
Après je ne sais pas pourquoi, il n'est plus revenu. » Ainsi disparaît le jeune Romain Poittevin lors d'une sortie scolaire sur la colline de Crussol. Et c'est le destin de tous ceux qui l'ont connu qui va s'en trouver bouleversé.
Sensible à la poésie, à la légèreté, mais aussi à la cruauté du monde de l'enfance, Cécilia Castelli signe un roman d'une puissance vertigineuse où d'étranges ombres s'égarent et se guettent, dans la violence de la nature et des sentiments, jusqu'à la résolution du mystère, saisissante.
« Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de Berlioz, ajoutant : « Que ne l'ai-je mieux connu, je l'aurais adoré ! » Berlioz et Flaubert n'ont pas eu le temps de nouer une longue amitié. Ils se rencontrent seulement en 1863 : le musicien enthousiasmé par Salammbô y a consacré un passage dithyrambique de sa Revue musicale de décembre 1862. Tandis que l'écrivain veut faire adapter son roman pour l'opéra, le compositeur est occupé par la préparation des Troyens. Mais il sollicite le romancier car il a besoin de « quelques conseils pour les costumes phéniciens et carthaginois. » Amis posthumes en quelque sorte, Flaubert et Berlioz ont accordé à l'Orient une place similaire dans leurs oeuvres et leurs aspirations. Contemporains de l'orientalisme romantique, de la vogue des féeries et des grandes mises en scène orientalisantes, ils ont à leur tour apporté leur contribution à une rénovation de ses formes et de ses thèmes.
Les oeuvres du Louvre dévoilent leur morbide secret !
Sur toile, dans le marbre ou l'argile, le meurtre est partout présent au musée du Louvre. En appliquant les principes de la criminologie et de l'histoire de l'art pour une analyse " criminartistique ", Scènes de crime au Louvre passe au crible de l'enquête un choix d'une trentaine d'oeuvres qui ont en commun de représenter des meurtres, leurs protagonistes, leurs histoires. Avec des révélations souvent surprenantes !
Bienvenue au Louvre, un univers où, sur toile, dans le marbre ou l'argile, le meurtre est présent dans chaque recoin du musée...
En appliquant les principes de la criminologie et de l'histoire de l'art pour une analyse " criminartistique ", Scènes de crime au Louvre se propose d'étudier et d'interpréter un choix d'une trentaine d'oeuvres d'art. Toutes sont d'époques et de styles très différents, mais toutes, des amphores de la Grèce ancienne aux peintures françaises du XIXe siècle, des toiles de Rubens à celles de Delacroix, David ou Ingres, ont une chose en commun : représenter des meurtres, qu'ils soient mythologiques ou historiques, leurs protagonistes, leurs histoires.
Chaque oeuvre sera traitée comme une scène de crime et donnera lieu à une enquête fouillée s'inspirant des principes des équipes judiciaires et médicolégales. De quelle typologie le meurtre relève-t-il ? Quels en sont les enjeux factuels et historiques ? Qui sont les victimes ? Et surtout, quel portrait peut-on tracer des coupables ? Quel est leur profil, leur background, leur alibi ? Des réponses apportées à ces questions dépendra la possibilité de faire éclater la vérité au grand jour.
Cloîtré dans son appartement, le fameux comédien Baruch-Danton Bèchefer s'est retiré du bruit et de la fureur d'un monde qui lui répugne. Il a tout perdu, l'espérance, la confiance, la compassion, l'amour de la vie et l'amour de sa vie, Aurore...
Mais le temps passe, et voilà qu'il va s'efforcer de reprendre intérêt à l'existence en épiant, depuis les hautes fenêtres de son repaire, une jeune fille un peu gauche au visage d'ange, clandestinement suivie chaque jour par un grand type aux grimaces inquiétantes. Il guette. Que va-t-il se passer ? D'autres passants s'en mêlent avec leurs histoires trop humaines, et tout ce monde va, rit, chante, et souffre devant le veilleur entre deux âges, attendri et féroce.
Dans cette aventure du quotidien, où s'entrelacent autour de la confession de Bèchefer les récits en double hélice de la jeune femme et du singulier colosse, on scrute le retour du printemps dans l'espoir vacillant des jours meilleurs.
Sauvages de ma rue présente les plantes sauvages les plus répandues dans les espaces publics des villes et villages de France. Chaque espèce est décrite d'une façon claire, sans terme technique afin que tout citadin, sans aucune formation en botanique, puisse apprendre à identifier celles qui poussent dans son environnement immédiat. Les descriptions sont toutes assorties de photographies. En outre, des informations sont fournies sur l'écologie de ces espèces (les endroits où on les trouve préférentiellement) ainsi que les usages alimentaires ou médicinaux qu'elles peuvent avoir. Il est surprenant de constater à quel point ces plantes, considérées pour la plupart comme des " mauvaises herbes ", possèdent des vertus oubliées.
Les plantes, et particulièrement les plantes sauvages, à travers les services qu'elles rendent, sont indispensables à la vie des citadins : elles tempèrent les îlots de chaleur, elles aident à la dépollution de l'air et de l'eau, à la détoxification des sols, elles constituent le milieu de vie de nombreux animaux (oiseaux, papillons, abeilles). En conséquence, de la qualité de la flore des villes dépend la qualité de vie des citadins, leur bien-être et même leur santé. Pourtant, les plantes sauvages qui peuplent nos cités restent méconnues.
Cet ouvrage, richement illustré, constitue un catalogue de référence unique qui permettra aux citadins de reconnaître les plantes qu'ils croisent quotidiennement dans leur rue, autour des pieds d'arbres, sur les trottoirs, dans les pelouses.
Il donnera également aux lecteurs intéressés la possibilité de participer à l'inventaire de la flore des villes organisée par le Muséum national d'Histoire naturelle et l'association Tela botanica, dans le cadre du projet " Vigie-Nature ".