1948, fin de la Seconde Guerre mondiale et capitulation des Alliés. Vingt ans plus tard, dans les États-Pacifiques d'Amérique sous domination nippone, la vie a repris son cours. L'occupant a apporté avec lui sa philosophie et son art de vivre. À San Francisco, le Yi King, ou Livre des mutations, est devenu un guide spirituel pour de nombreux Américains, tel Robert Chidan, ce petit négociant en objets de collection made in USA. Certains Japonais, comme M. Tagomi, dénichent chez lui d'authentiques merveilles. Tandis qu'un autre livre, qu'on s'échange sous le manteau, fait également beaucoup parler de lui:Le Poids de la sauterelle raconte un monde où les Alliés, en 1945, auraient gagné la guerre...
Toutes les grandes villes ont une âme, incarnée par un avatar humain, un gardien doté de pouvoirs immenses. New York, elle, en a six : Brooklyn, Manny, Bronca, Venezia, Padmini et Niik. Bien qu'ils aient temporairement réussi à empêcher la Dame Blanche d'envahir la ville, la mystérieuse Ennemie a d'autres tours dans son sac. Un nouveau candidat à la mairie, qui brandit la rhétorique populiste de la xénophobie, pourrait bien réussir à changer la nature même de New York. Pour le vaincre, ainsi que l'Ennemie qui tient les cordons de sa bourse, les avatars doivent s'unir aux autres mégapoles du monde afin de protéger leur univers - et tous les autres - d'une destruction totale.
La terre tremble si souvent sur votre monde que la civilisation y est menacée en permanence. Le pire s'est d'ailleurs déjà produit plus d'une fois:de grands cataclysmes ont détruit les plus fières cités et soumis la planète à des hivers terribles, d'interminables nuits auxquelles l'humanité n'a survécu que de justesse. Les gens comme vous, les orogènes, qui possèdent le don de dompter volcans et séismes, devraient être vénérés. Mais c'est tout l'inverse. Vous devez vous cacher, vous faire passer pour une autre. Jusqu'au jour où votre mari découvre la vérité, massacre de ses poings votre fils de trois ans et kidnappe votre fille.
La Cinquième Saison jette les derniers vestiges de la civilisation dans une froide nuit sans fin. Essun - jadis Damaya, puis Syénite, mais qui n'est plus aujourd'hui que vengeance - a trouvé un abri, mais pas sa fille. Son chemin croise à nouveau celui d'Albâtre, le destructeur du monde revenu d'entre les morts, porteur d'une demande qu'elle seule peut satisfaire et dont il ne peut résulter que le chaos. Pendant ce temps, le pouvoir de Nassun, sa fille, ne cesse de croître. Elle a suivi son père, Jija, loin au sud, où l'attend une rencontre décisive.
Le retour imminent de la Lune signifie-t-il la fin de l'humanité ou au contraire sa rédemption ? La réponse à cette question repose sur les épaules d'une femme et de sa fille. La première, Essun, entend se servir des pouvoirs qu'elle a hérités d'Albâtre pour bâtir un futur dans lequel les orogènes seraient libres. Mais pour la seconde, Nassun, il est trop tard. Elle a vu ce que le monde avait à offrir de pire et a accepté ce que sa mère n'admettra jamais : qu'il est corrompu au-delà du point de non-retour et que sa destruction est inévitable.
Bienvenue en l'an 2454.
L'humanité connaît sur Terre un nouvel âge d'or, après un conflit ayant mis fin à la foi aux États-nations et aux religions. Aux moyens d'une censure précise, aux trésors de l'analyse statistiques et à l'abondance technologique, sept factions dirigent le monde.
Condamné à la servitude à vie pour un crime dont on ignore tout, Mycroft Canner est l'un des instruments de ce pouvoir. Lorsqu'on lui demande d'enquêter sur un vol étrange, il se retrouve bientôt sur la piste d'une conspiration à même d'ébranler la paix fragile. Mais Mycroft cache lui aussi ses secrets, telle cette menace qui a la forme improbable d'un garçonnet de treize ans aux pouvoir inimaginables. Comment ce monde utopique qui a banni Dieu pourra appréhender cet enfant capable d'authentiques miracles ?
Avec Trop semblable à l'éclair, premier volet de la tétralogie « Terra Ignota », Ada Palmer nous offre une oeuvre d'une ambition et d'une érudition folles, transposant la philosophie des Lumières dans un futur lointain et étranger. Un roman magistral et fascinant. Un classique instantané.
Février 2455 : l'âge d'or dans lequel l'humanité vivait depuis trois siècles n'existe plus depuis six mois - six mois d'une guerre civile à l'échelle mondiale. Les Ruches, ces organismes ayant remplacé les États-nations, sont en conflit ouvert les unes contre les autres, quand elles ne se déchirent pas dans des querelles intestines.
Six mois aussi d'un black-out inquiet, où l'accès instantané à l'information et les déplacements ultrarapides n'ont plus court. Six mois de réinvention de la guerre... et nulle perspective de paix en vue.
Dans ce monde où la technologie est si avancée que n'importe quel objet industriel peut se muer en une arme de destruction massive, où voisins et membres d'une même famille peuvent appartenir à des Ruches désormais ennemies mortelles, deux grandes factions s'opposent : les pro-Ruches, désireux de les réformer, face au dieu vivant J.E.D.D. Maçon et ses soutiens, qui ambitionnent de bâtir un système plus juste mais ignorent encore comment. Toutefois, en coulisses, un autre conflit fait rage : celui de l'orientation future de l'humanité...
Atteindre les étoiles n'est-il qu'un projet chimérique ?
Riche en morceaux de bravoure, rebondissements et émotions, peuplé de personnages extraordinairement attachants, Peut-être les étoiles conclut magistralement « Terra Ignota ».
OEuvre aussi colossale que magistrale à l'ambition époustouflante, « Terra Ignota » est un classique instantané salué par une critique dithyrambique.
Septembre 2454.
Tant redoutée, mais inévitable depuis plusieurs mois, la guerre est là : l'âge d'or dans lequel prospérait l'humanité depuis trois siècles a volé en éclat, à l'instar de la cité aquatique d'Atlantis, première victime du conflit. Quelques semaines plus tôt, un procès retentissant a prouvé que l'équilibre précaire qui maintenait la paix entre les Ruches, ces organismes ayant remplacé les États-nations, n'existait qu'au moyen d'une série de meurtres calculés avec précision. Il n'en fallait pas davantage pour mettre le feu aux poudres. Dans ce monde où les frontières n'existent plus, où la technologie est si avancée que n'importe quelle création industrielle peut se muer en une arme de destruction massive, où les membres d'une même famille peuvent appartenir à des Ruches désormais ennemies mortelles, la guerre est un art à réinventer. Deux camps se dessinent cependant. Ceux qui soutiennent Sniper et sa volonté de réformer les Ruches ; ceux qui soutiennent J.E.D.D. Maçon, le dieu vivant ou prétendu tel, et son ambition de rebâtir un système plus juste. Or, dans les coulisses, d'autres conflits se trament, avec comme enjeu l'accès aux étoiles...
Printemps 2454. L'âge d'or dans lequel vivait l'humanité depuis trois siècles a brutalement pris fin : corruption, prévarication, népotisme et meurtres calculés ; le prix véritable de cette exceptionnelle période de prospérité vient d'éclater au grand jour. Alors que le procès des responsables approche, l'opinion publique se divise : faire table rase du passé pour envisager un monde radicalement nouveau sous l'égide de J.E.D.D. Maçon, le dieu vivant, et ainsi plonger dans la Terra Ignota, ou sauver ce qui peut l'être de l'ordre ancien. Ruches et hors-Ruches, Utopistes et sensayers, seigneurs, empereurs et Servants se préparent à un affrontement qui paraît inévitable. À commencer par le premier d'entre tous, l'ultime prodige de Bridger, Achille, fils de Thétis et du roi Pélée, le maître des arts de la guerre, le dernier espoir, peut-être, de ce monde au bord du gouffre...
Année 2454. Dix milliards d'êtres humains se répartissent en sept Ruches ayant remplacé les États-nations d'antan. Paix, loisirs, prospérité et abondance définissent ce XXVe siècle aux atours d'utopie. Pourtant, l'âge d'or dans lequel baigne l'humanité depuis trois cents ans touche peut-être à sa fin. Les Ruches coexistent selon un équilibre plus fragile que n'importe qui l'aurait cru, et seule une série de meurtres calculés avec précision maintient le statu quo politique. Le ver est dans le fruit, et avec lui la pourriture... Que faire ? Laisser perdurer l'inacceptable au bénéfice d'une paix de plus en plus friable ? Ou tout réformer ? Mycroft Canner, criminel condamné à une vie de servitude et confident des puissants, a en main l'atout à même de créer, pour peu que l'occasion se présente, les conditions d'un monde infiniment meilleur pour tous et à jamais. Un atout qui, s'il était mal utilisé, pourrait pourtant réduire en pièces tout ce qui existe...
Mars 1912, l'Europe et une partie de l'Angleterre disparaissent subitement, remplacés par un continent à la faune et à la flore non terrestres que l'on ne tarde pas à nommer la Darwinie. Pour le jeune Guildford Law, cette tragédie n'a rien d'un miracle ou d'une punition divine ; plutôt une énigme que la science pourra un jour résoudre. Fort de cette certitude, il va tout sacrifier pour faire partie de la première grande expédition d'exploration destinée à s'enfoncer au coeur du continent inconnu ; une expédition qui, de mort violente en mort violente, le mènera plus loin qu'il ne pouvait l'imaginer... Nominé au prestigieux prix Hugo en 1999, Darwinia est une oeuvre d'une singulière ambition, qui évoque l'époque glorieuse où les savants étaient aussi explorateurs et aventuriers.
Que s'est-il réellement passé dans la nuit du 10 au 11 mai 1941, cette nuit où Rudolf Hess s'est envolé d'Allemagne pour négocier la paix avec la Grande-Bretagne ? Son avion a-t-il été abattu par la Luftwaffe ? Hess a-t-il réussi sa mission sans en informer Adolf Hitler ? C'est à toutes ces questions que tente de répondre l'historien Stuart Gratton. Il va notamment s'intéresser au destin exceptionnel de deux frères jumeaux, Joe et Jack Sawyer, qui ont rencontré Hess en 1936 aux jeux Olympiques de Berlin. Avec son dernier roman en date, Christopher Priest oscille, comme souvent, entre littérature générale et science-fiction. Uchronie subtile, rêve éveillé, roman historique ? La séparation est un nouveau tour de force, récompensé par le prix de la British Science Fiction Association, le prix Arthur C. Clarke et le Grand Prix de l'Imaginaire, catégorie roman étranger.
Je suis sale. J'ai les cheveux desséchés, pleins de sel, des démangeaisons au cuir chevelu. J'ai les yeux bleus. Je suis grand. Je porte les vêtements que je portais il y a six mois et je pue.
J'ai perdu mes lunettes et appris à vivre sans. Je ne fume pas, sauf si j'ai des cigarettes sous la main. Je me saoule une fois par mois, quelque chose comme ça. La dernière fois que j'ai vu ma femme, je l'ai envoyée au diable, mais j'ai fini par le regretter. J'adore ma fille, Sally.
Je m'appelle Alan Whitman... Et je survis dans une Angleterre en ruine, envahie par des populations africaines obligées de fuir leur continent devenu inhabitable.
Le pensionnaire d'un hôpital psychiatrique tire au hasard sur la foule du centre commercial Métro-Centre, à Brooklands. trois morts. Le père de Richard Pearson, publiciste au chômage, est l'un d'entre eux. Hanté par ce meurtre, Richard plonge dans la vie quotidienne de cette morne cité, coincée entre une autoroute et un aéroport. Il tâtonne, à la recherche d'un indice, mais très vite, les pistes se brouillent. Témoin de manifestations de haine et de violence, de consumérisme obsessionnel, de déliquescence sociale, Pearson va découvrir une vérité effrayante, qui dort, enfouie, au fin fond de nos sociétés postmodernes.
Avec Que notre règne arrive, Ballard poursuit son exploration critique de nos sociétés, déshumanisées par le consumérisme morbide et la fascisation des esprits.
À La Nouvelle-Orléans, des dragons hantent les rues inondées après le passage de Katrina ; dans les États esclavagistes du Sud, une mère noire tente de sauver sa fille d'impossibles promesses ; tandis que, dans cette autre réalité, les monstres et les héros créés par l'humanité survivent à la mort de celle-ci, mais pour combien de temps encore, et dans quel but ?
Recueil de nouvelles sombres et engagées, Lumières noires donne à voir notre société contemporaine à travers le prisme d'une myriade de miroirs déformants mais terriblement réels.
L'Archipel du Rêve... Des centaines d'îles éparpillées entre le Continent Septentrional et Sudmaieure. Des milliers. Des centaines de milliers. À cause du phénomène des gradients temporels, personne ne sait, aucune carte ne peut être tracée. Sur les Aubracs sévit un insecte mortel, redouté. Sur Collago, le secret de l'immortalité a été découvert, mais le traitement n'est pas à la portée de toutes les bourses. Sur Tremm, interdite aux civils, des explosions retentissent chaque nuit... Même dans la zone de neutralité que représente l'Archipel, certains conflits demeurent... Avec Les Insulaires, Christopher Priest nous invite à explorer certaines îles de l'Archipel du Rêve, nous faisant découvrir leurs mystères, leurs principales attractions touristiques et leurs artistes. Cependant, il se pourrait bien qu'un meurtre énigmatique, voire plusieurs, se cachent dans les pages de cet atypique guide touristique.
A la mort de sa mère, Travis Fisher est recueilli par sa tante, Liza Burack, à Haute Montagne. Malgré la Grande Dépression, la vie y est simple, rythmée par le travail à la fabrique de glace, les sermons à l'église baptiste et les sorties avec Nancy Wilcox. Travis en viendrait presque à oublier son statut d'inadapté. Mais il y a la mystérieuse Anna Blaise, elle aussi hébergée par les Burack. Qui est-elle vraiment ? Quel secret cache-t-elle dans sa chambre systématiquement close ?
«Prisonnier (par la volonté de Dieu) du corps d'un écrivain fraîchement suicidé et chichement membré, moi, Lucifer, Ange Déchu, Porteur de Lumière, Prince des Ténèbres, de l'Enfer et de ce Monde, Seigneur des Mouches, Père du Mensonge, Suprême Apostat, Tentateur, Antique Serpent, Séducteur, Accusateur, Tourmenteur, Blasphémateur et, sans contestation possible, Meilleur Coup de l'Univers Visible et Invisible (demandez donc à Ève, cette petite garce), j'ai décidé - ta-daaah ! - de tout dire.
Tout? Presque. Le funk. Le swing. Le boogie. Le rock.
C'est moi qui ai inventé le rock. Si vous saviez tout ce que j'ai inventé : la sodomie, bien sûr, la fumette, l'astrologie, l'argent... Bon, on va gagner du temps : tout, absolument tout ce qui vous empêche de penser à Dieu. C'est-à-dire à peu près tout ce qui existe.» Moi, Lucifer est un hilarant portrait du diable, sous forme de confession pour le moins très intime.
Grande-Bretagne. Futur proche.
La monarchie constitutionnelle parlementaire qu'on croyait éternelle a laissé place au Système, un mode de démocratie directe où le citoyen est fortement incité à participer et voter. La population est surveillée en permanence par le Témoin : la somme de toutes les caméras de surveillance et de tout le suivi numérique que permettent les objets connectés.
Au cours d'un interrogatoire par lecture mentale, la dissidente Diana Hunter décède. Mielikki Neith, une inspectrice du Témoin, fidèle au Système, est chargée de l'enquête. Alors qu'elle devrait être en mesure d'explorer la psyché de Hunter, Mielikki se retrouve confrontée à trois mémoires différentes : celle d'un financier grec attaqué par un requin, celle d'une alchimiste et celle d'un vieux peintre éthiopien.
Pour Neith, dont les certitudes commencent à s'effriter, un incroyable voyage au coeur de la pensée humaine commence. Aussi déroutant que dangereux.
Nick Harkaway est l'auteur de quatre romans, dont Gonzo Lubitsch ou l'incroyable odyssée (Robert Laffont, 2010).
Paru juste avant sa mort en Grande-Bretagne, La vie et rien d'autre témoigne de l'incroyable parcours de l'écrivain JG Ballard, auteur de plus de trente livres allant de la science fiction à l'anticipation sociale parmi lesquels Crash et Millenium people. Mêlant sens aigu de l'analyse et traits d'humour très british, Ballard raconte son enfance mouvementée à Shanghai et la douloureuse expérience de l'internement dans un camp de prisonniers japonais en Chine. Puis c'est le retour en Grande Bretagne, les études de médecin, la quête d'une voie à suivre. Il s'engage dans la Royal Air Force, devient directeur d'une revue scientifique avant de disséquer dans son oeuvre, comme nul autre, notre société contemporaine. « Au fond, j'étais un conteur à l'ancienne, doté d'une vive imagination », déclare avec une modestie sidérante cet auteur majeur de la littérature contemporaine.
Victime d'un attentat à la voiture piégée, Richard Grey, cameraman professionnel, se remet peu à peu dans une clinique où il est gardé au secret par le gouvernement britannique.
C'est là que son ancienne petite amie, Susan Kewley, une artiste, finit par le retrouver. Mais Grey n'a plus aucun souvenir d'elle, elle pourrait aussi bien n'avoir jamais existé. Peu à peu, la mémoire va lui revenir et, avec elle, l'évocation d'un don étrange que Sue posséderait : le glamour, la faculté de se rendre invisible.
Après des années de catastrophes naturelles successives, une frontière a été tracée entre le nord et le sud des États-Unis. Le sud, de la Louisiane à la Floride, est devenu un véritable no man's land. La région a été évacuée et n'est plus qu'une zone de non-droit ravagée par les tempêtes incessantes. Cohen est l'un des rares qui a choisi de rester. C'est un homme hanté par le décès de sa femme et de leur enfant à naître. Son errance solitaire prend fin lorsqu'il trouve une colonie de survivants menée par un prêcheur fanatique qui retient prisonnier des femmes et des enfants. Cohen va les libérer et entamer avec eux un dangereux périple vers le nord.
Un roman post-apocalyptique sans concession dans la lignée de La route de McCarthy.
Rien ne va plus pour Remshi : après sa rencontre avec Talulla, il a dormi près de deux ans, abandonnant de fait sa familière humaine, Justine.
Rien ne va plus entre Walker et Talulla, car elle ne peut s'empêcher de penser encore et toujours à Remshi. Elle rêve de lui, toujours le même rêve, intensément érotique.
Rien ne va plus pour les vampires et les loups-garous : l'Église a décidé de dévoiler leur existence à la Terre entière et de se servir du conflit en marche pour reprendre le pouvoir.
Traqués par les Militi Christi, Remshi et Talulla n'ont plus qu'un choix : celui d'unir leurs forces pour protéger leurs proches et sauver leurs vies.
Rites de sang clôt magistralement la trilogie du Dernier loup-garou. Avec cette série, Glen Duncan dépoussière, voire dynamite, le mythe du lycanthrope.