Ceux de 14 ; les éparges

À propos

Les Éparges « On dit que nous faisons la guerre et c'est vrai que nous l'avons faite. Cela n'a pas duré longtemps. Presque tout de suite, c'est elle qui nous a pris, et conduits nous ne savons vers où. » 1er août 1914 : la France décrète la mobilisation générale. Genevoix, brillant normalien qui n'a pas 24 ans, rejoint le 106e régiment d'infanterie. En janvier 1915, les troupes s'affrontent pour prendre la crête des Éparges. Pendant quatre longs mois d'horreur, le 106e défend la position, au prix d'un carnage. Sur cette colline meurtrière, les combats se font au corps-à-corps, à la grenade, et sous le feu des obus. Immergés dans la boue, le sang, la mort, les fantassins tiennent, jour après jour, participant à l'une des batailles les plus meurtrières de la guerre. Chef-d'oeuvre littéraire et témoignage historique, Les Éparges constitue la dernière partie des carnets de Genevoix, d'abord publiés séparément entre 1916 et 1923, puis rassemblés en un seul volume sous le titre Ceux de 14.


Rayons : Littérature > Récit


  • Auteur(s)

    Maurice Genevoix

  • Éditeur

    J'ai Lu

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    27/08/2014

  • Collection

    Librio ; Litterature

  • EAN

    9782290099087

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    224 Pages

  • Longueur

    20.5 cm

  • Largeur

    13 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    194 g

  • Diffuseur

    Flammarion

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Maurice Genevoix

Né en 1890 à Decize, dans la Nièvre, Maurice Genevoix sort de l'École normale supérieure pour entrer dans la guerre, en août 1914. Il passe des mois très durs dans les secteurs les plus meurtriers du front. Grand blessé, il décrit ses épreuves dans Ceux de 14, qui le révèle au grand public. Il est l'auteur de plus de cinquante livres, parmi lesquels Raboliot (1925), qui exhalte la vie libre d'un braconnier de Sologne et lui vaut le prix Goncourt, La Dernière harde (1938) et La Forêt perdue (1967).

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